Une cousine avenante - Histoires de Sexe

Une cousine avenante

... espérait pas moins.

- Il y a un pont, lui ai-je alors dit ! On pourrait se voir ? J’irai chez toi !

Elle ne pouvait pas et j’en ai fait mon deuil mais quelques jours plus tard, elle m’a appelé pour me dire qu’elle s’était arrangé.

C’était à cinq cents kilomètres. J’y suis allé. Quand je suis arrivé, ça m’a fait quelque chose de voir ma cousine en chair et en os.

- Quoi ! Qu’est-ce qu’il y a, m’a demandé ma cousine ? J’ai des gros seins ?

Elle avait des gros seins. Je l’ai suivie dans la maison. J’avais envie de la toucher, de la serrer, de l’embrasser mais elle se dérobait. Elle a fini par me dire qu’elle avait pensé qu’on ferait ça le soir. J’insistais et elle m’a dit de ne pas m’affoler puis elle m’a prévenu qu’elle va se préparer et elle a disparu dans le couloir. Quand elle est réapparu, elle était toute nue et dans la main, elle tenait un préservatif. Je lui ai dit que je suis sain mais elle a tenu bon et si j’ai pu la pénétrer sans, il a bien fallu que je la mette et ça m’a rappelé mes premiers essais avec des copines de la classe et puis dans l’affolement, la capote à disparu du bout de ma bite et j’ai baisé ma cousine et je ...

... l’ai même enculée.

- Oh, toi, alors, a-t-elle fini par me dire ! Tu es un sacré cochon ! Tu ne sens pas gêné ?

Je ne l’étais pas. Tout juste un peu de honte. Ma cousine a fini par s’asseoir sur mes genoux et elle s’est laissée aller en arrière en me prenant les mains pour les poser sur ses seins.

- Alors, tu aims ça les gros nichons, m’a alors dit ma cousine !

Bien sûr que j’aimais ça parce que c’est ça qui m’avait toujours attiré chez les femmes. Ma cousine m’a demandé ce que je pense de son cul. Après, nous avons discuté de la famille pour finir par nous apercevoir qu’elle était quelques années plus jeune que moi mais ça n’avait plus d’importance à nos âges.

- C’était bon, non, m’a demandé ma cousine ?

Bien sûr que ça avait été bon. Ma cousine m’a recommandé de ne plus me servir de son anus mais elle l’a vite oublié et j’ai pu continuer. J’ai fini par lui parler de ses copines.

- T’occupes, m’a répondu ma cousine ! Ici, personne ne sait !

Allez savoir pourquoi je ne l’ai pas crue. Depuis ce jour, je m’efforce de retourner régulièrement chez elle pour la baiser parce que non seulement elle aime ça et qu’elle en redemande.