La nuit du commencement
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Clarasex, Source: Hds
... doucement ma main vers son entrejambe.
« Elle aussi elle m'a manqué »
Il ne réagit pas, continue sa partie, et ne me répond qu'à peine
« toi aussi bébé »
Je décide de ne pas m'énerver, mais je vais dans la salle de bain pour me démaquiller et me mettre en pyjama, vu qu'il ne daigne pas m'accorder de l'attention.
La soirée passe, il finit par lâcher sa play et on se met devant un film. Puis vient enfin le moment où il a envie de baiser.
Il m’attrape par la taille et me fait monter sur lui. Sa queue est déjà dure, et je suis en string, je lui met une capote j'écarte la ficelle et le fais entrer en moi d'un coup, je suis trempée. Je commence mes vas et viens quand soudain il m'agrippe les seins, pousse un cri tandis que je sens sa bite remplir la capote dans ma chatte par saccades, puis s'effondre.
Je sors sa bite de moi et me dirige vers la salle de bain, de plus en plus frustrée. D'habitude, quand il jute vite, il a au moins la décence de s'excuser, cette fois ci même pas.
Quand je reviens il est dans la même position, sa bite molle étant seulement libérée de sa protection de latex.
Je lui dis que j'ai faim. Il me répond qu'il n'y a rien à manger ici mais qu'en bas dans la rue il y a une petite épicerie.
Je regarde l'heure, il est déjà près de minuit. Il me dit de me dépêcher, j'enfile un short, un haut, et je descends. Au moment de fermer la porte il me crie « et pense à prendre des capotes ! » Sale con.
Une fois dans la rue, je me ...
... rappelle où je suis. Et encore une fois, je suis à moitié à poil, sauf que là, c'est chaud.
Devant l'immeuble il y a 6 mecs la quarantaine, des rebeux, qui discutent assis sur des chaises. De l'autre côté de la rue, la fameuse épicerie, le rideau aux trois quarts baissés. J'y fonce et me faufile sous le rideau en me mettant à 4 pattes (j'entends siffler derrière moi).
Une fois redressée, je me retrouve face à un rebeu, environ 45 ans, assez grand et gras, le regard mauvais. Il me demande ce que je fais ici. Il sent la sueur, et le musc, ça commence à m'exciter.
Je lui dis que je n'ai que quelques articles à acheter, de la nourriture, que ça ne prendra pas longtemps. Et je lui dis bêtement qu'il me faut des capotes.
Son regard change. Il ne dit rien, mais me contourne, passe derrière moi, et finit de fermer le rideau métallique.
Je me retourne brusquement « c'est quoi ton problème t'as quoi à fermer le rideau t'es fou ? »
Il me décoche une grosse gifle dans la gueule. Choquée, je vacille, quand il me saisit par le cou, me redresse, et me plaque brutalement contre le comptoir.
« T'as l'air d'une bonne petite salope, je t'ai vu tout à l'heure dans ta robe de pute, et là tu viens à poil me demander des capotes ? »
Il m'envoie une autre gifle et me retourne. Il baisse mon short d'un coup sec.
Je me retrouve, le cul et la chatte à l'air dans une épicerie de cité à minuit, avec mon mec à quelques dizaines de mètres qui ne se doute de rien. Je suis dans un état ...