Surprises dans le sous-bois - Histoires de Sexe

Surprises dans le sous-bois

... langoureusement leur langue et se partagent avec gourmandise le sperme du garçon qu’Annie a encore dans la bouche. Emportées par leur désir mutuel, elles se pétrissent fébrilement les seins, écartant en grand leur chemisier qui glisse le long de leurs bras, découvrant leurs épaules. Semblant visiblement apprécier de s’exhiber devant un spectateur, elles laissent ensuite leurs mains descendre progressivement jusqu’à leur sexe et se caressent mutuellement la fente sous le regard ébahi du jeune homme. De plus en plus excitées, elles s’introduisent furieusement plusieurs doigts au plus profond de leur intimité, ce qui entraîne rapidement leur jouissance.

Ce petit moment de folie passagère et de pur plaisir brut est maintenant terminé. Le garçon termine de se rhabiller tandis qu’elles reprennent leurs esprits. Il leur dit alors un dernier mot avant de les quitter.

— Bon, ben, merci. C’était très bon.

Annie ne l’entend pas ainsi, elle est fermement décidée à ne pas laisser passer sa chance.

— Attends. On ne peut pas te laisser partir comme cela.
— Pourquoi ? On ne se connaît même pas. En plus les filles, c’est pas mon truc.
— J’ai bien compris, mais ça m’ennuie que tu te sois brouillé avec ton copain pour une broutille. Je pense qu’on pourrait vous ...

... réconcilier.
— Tu pourrais faire ça ?
— C’est possible… Il n’a pas de copine ?
— Non.
— Alors tout le plaisir sera pour moi.

Karine se manifeste alors.

— Eh, tu m’en laisseras un peu !
— Bien sûr. Quand il y en a pour une, il y en a pour deux.

Sa copine reste néanmoins dubitative.

— Et comment va-t-on faire ?
— Facile. D’abord, on le rencontre « par hasard », on fait connaissance et on le laisse nous baiser à volonté.
— Ça commence bien.

Annie continue d’expliquer son plan en s’adressant au garçon.

— Ensuite on vous réconcilie, et pour finir, si tout se passe bien, on va faire des trucs tous ensemble et peut-être même qu’on va pouvoir le convaincre de te sucer, par exemple pour se faire pardonner de sa réaction brutale.

Le jeune homme est sidéré d’une telle assurance.

— Tu penses vraiment arriver à faire tout cela ?
— Oui. Les mecs sont tous les mêmes, il est si facile de les mener par le bout de la bite.
— Vraiment ?
— Même toi, je parierais volontiers que l’on pourra à nouveau goûter à ta belle bite. Et peut-être même que tu nous la mettras bien profond.
— Ça m’étonnerait.

Annie lui répond avec une profonde assurance, contrastant avec son regard angélique.

— Tu paries ?
— Non. Je crois qu’avec toi, tout est possible.