1. Garde-à-vous !


    Datte: 02/08/2020, Catégories: ff, hh, fhh, couplus, hsoumis, 69, Partouze / Groupe hsodo, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... autre peut le faire fantasmer.
    
    Un long moment j’ondule, un tantinet provocatrice, entre les deux hommes. Mais Marc fait un pas en arrière.
    
    — Déshabillez-la, s’il vous plaît, demande l’homme à Rémy.
    
    C’est bien un jouisseur. Un vrai. Un de ceux pour qui la façon compte autant que la réalisation. Il veut voir sa future maîtresse offerte par le compagnon. C’est autrement plus jouissif.
    
    La fermeture Éclair est dans mon dos, mais c’est comme s’il pouvait suivre la lente séparation des dents d’acier qui laisse apparaître ma peau.
    
    Moi, je regarde ses yeux. J’y vois des lueurs qui brillent. Et que dire lorsque mes épaules apparaissent, le tissu lentement écarté par les mains de Rémy qui joue son rôle à merveille. Mon coquin de compagnon sait faire monter le désir de ceux que j’ai choisis. Chaque fois, il m’avoue qu’il aime encore plus me voir baiser que baiser lui-même. Un vrai candauliste dans l’âme, et moi une vraie salope qui sait en profiter. En profiter car je sais que le désir de Rémy se concentre dans sa queue, délicieuse queue de chair que la perversité rend une tige de bonheur.
    
    Les yeux de Marc semblent rivés à la lisière tissu-peau, ma peau qui apparaît alors que le tissu la libère. Pourtant rien de bien conséquent n’apparaît. Contrairement à beaucoup de femmes qui, pour ce genre d’occasion, ne portent aucun sous-vêtement, moi, j’en fais un principe.
    
    Un homme, une femme, qui me désire doit attendre. L’attente est une source de plaisir. Mon ...
    ... soutien-gorge, s’il est en dentelle et transparent, n’en est pas moins un rempart.
    
    Lorsque Rémy défait l’agrafe dans le dos, relâchant la pression sur mes deux lobes, Marc respire. Les deux bretelles que des doigts vicieux ne font glisser que lentement déclenchent un soupir. Mes seins qui se dressent fièrement avec les tétons qui dardent montrent que, moi aussi, j’apprécie ce moment. Puis vient le moment magique de la culotte. Juste deux triangles reliés par des ficelles. Cela suffit à sublimer un mont de Vénus, rendre une fente mystérieuse, imaginer tout un monde nouveau jusqu’à ce que le tissu soit enlevé. Combien de jeunes se découvriraient des dons pour la géométrie, si pour la démonstration du triangle équilatéral on faisait passer dans les rangées un string de femme. Combien d’adolescentes honteuses de leurs envies se transformeraient en femmes généreuses si elles pouvaient les placer entre leurs cuisses ?
    
    Ses yeux ne me quittent plus. Rémy aussi s’est éloigné. Je me sens le centre du monde. Deux hommes pour moi. Je tends la main vers la chemise de Marc.
    
    — Non, lui, m’intime l’homme me montrant mon compagnon.
    
    Rémy s’est avancé. Lui aussi a compris que l’homme est d’abord un voyeur et que son plaisir est aussi dans ces instants, un peu comme un mari regarde sa femme. Je m’exécute. Pour une femme aussi, c’est agréable de défaire un à un les boutons d’une chemise, même si on connaît parfaitement son compagnon. Que dire du pantalon ! Que dire du slip !
    
    Moi, toujours je ...
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