1. Aller simple pour Rio


    Datte: 01/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: an75, Source: xHamster

    ... deux jours que je n’ai pas jouis, Sophie voulait que je pense à elle et que je sois en manque, mais aussi que je montre que j’étais capable d’être tourné seulement vers son plaisir.
    
    J’ai envie de me soulager dans les toilettes mais je me retiens.
    
    Je ne sais pas si c’est moi, mais je déteste la jouissance et je me dégoute d’en avoir tant envie, c’est aussi pour cela que je me punis. Je suis pris d’une fièvre folle, puis je jouis et tout est différent, comme si j’étais un autre. Et le pénis qui rentre dans une femme, j’ai l’impression que c’est un viol, aussi je me sens tout le temps coupable. Ma mère m’a toujours dit que les hommes étaient de gros cochons et qu’on devrait leur couper le sexe, aussi j’en suis pas mal persuadé. Comme pour les couilles. J’aime bien les attacher très serrées comme de petites noix, mais ramenées sur le devant du sexe, là je veux les mutiler comme je veux, en les tapant, ou en les serrant très fort. Une fois j’ai pris une agrafeuse pour les murs. J’ai mis du temps à le faire. Je l’avais déjà essayé sur mon pénis et je m’étais fait un gros hématome. Il avait une allure toute déformée, bleu et il m’a fallu pas mal de temps pour que cela parte. Pour les couilles je me disais que cela devrait faire très mal, déjà rien que d’appuyer l’agrafeuse pour la maintenir en place. Je me suis convaincu que je le méritais et j’ai pris tout mon courage pour appuyer et enfoncer le métal dans mes couilles si sensibles. Je me suis évanoui d’emblée tellement ...
    ... c’était violent. Quand je suis revenu à moi il y avait du sang sur la serviette que j’avais mis par précaution et l’attache était bien enfoncée dans la couille. C’est dingue car alors j’ai senti mon sexe grossir et devenir si dur. Quel souvenir ! Je sentais des frissons rien que d’y penser.
    
    Pierre, l’ami de mon beau-père est un très bel homme. Il a les cheveux gris coupés courts avec une allure assez sévère, un corps puissant et musclé, je le sens très alerte bien qu’il ait largement dépassé la quarantaine. Plus grand que moi, il a le teint halé et ses yeux sont cachés par ses lunettes de soleil. Il m’accueille avec un grand sourire et me prend dans ses bras comme si j’étais son fils. La valise dans le coffre, nous visitons la ville dans son coupé Mercédès puis nous nous rendons à son club de sport. C’est un club hyper select dans un endroit divin, avec une grande piscine, des tennis, et beaucoup de calme, ce qui contraste avec la folie et la pollution de la ville. J’att**** juste mon maillot de bain pour profiter du soleil, de la piscine puis du sauna. C’est vraiment la belle vie. Nous mangeons un morceau servi que par de jolies filles. Pierre est un riche Business man et je suis surpris qu’il soit célibataire tant toutes tentent de la charmer. Il m’avoue avoir couché avec la moitié au moins des employées, et j’en suis ébahis, car elles sont vraiment canons. Mais aucune n’a eu l’heure de lui plaire. Il me demande si cela me plairait de m’en taper une, qu’il peut arranger cela, ...
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