1. Aller simple pour Rio


    Datte: 01/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: an75, Source: xHamster

    ... me ligoter les mains dans le dos, et les chevilles ensemble, mon slip dans la bouche avec un large sparadrap pour compléter le tableau et me fourre au sens propre dans le coffre de sa voiture, sans un mot. Le coffre est refermé, je suis dans le noir, cela sent bizarre, je ne m’attendais pas à cela, si vite. J’espère ne pas vomir dans mon slip qui me remplit toute la bouche ! De façon surprenante je me sens bien, une boule au ventre certes, mais je suis heureux d’avoir changé d’avis, au pire je passe un mois d’enfer mais cela me fera des souvenirs !
    
    Je me suis endormi lorsque le coffre est ouvert et que je suis ébloui par le soleil brûlant. Je me redresse avec difficulté et sors du coffre, les graviers blessant mes pieds. Nous sommes face à une grande ferme comme il y en a des milliers, et rentrons dans le bâtiment principal, désert. Pierre me demande de me mettre à genoux et d’attendre, c’est douloureux sur le carrelage mais je ne dis rien. Il rentre dans ce qui semble être un salon, j’entends des voix. Je regarde la décoration plutôt spartiate même si cela sent le luxe dans les tentures, la qualité de la peinture et les quelques meubles d’ébène. Le temps passe, la douleur dans les genoux devient infernale mais je n’ose pas bouger, je suis certain que dès que je vais bouger cela sera le moment où Pierre reviendra. Difficile de savoir combien de temps je reste là, je suis certain qu’au moins une heure s’est passée, j’ai vu l’ombre du soleil nettement progresser. C’est ...
    ... alors que j’entends la voix puissante de Pierre m’appeler par le nom affectif qu’il me donne, petite pute, et me demander de rentrer en restant à 4 pattes. La mise en mouvement est douloureuse et je fais pauvre figure à marcher ainsi les genoux douloureux. La pièce où m’attend Pierre et grande. Il est attablé avec une femme d’un certain âge, sans doute la cinquantaine, qui me regarde très fixement, je n’en mène pas large, d’autant qu’à 4 pattes je suis clairement en position d’infériorité. Ils ont du déjeuner pendant tout le temps où j’attendais dans l’entrée ! Cette idée m’humilie profondément, mon orgueil en prend un coup, et sans trop de surprise maintenant, mon sexe aussi qui sans se redresser prend du volume. Je suis vraiment complètement déglingué de réagir comme cela, et de me retrouver ici. Je n’ose regarder cette dame, qui ne ressemble en rien à ce que je pouvais imaginer d’une dominatrice. Elle a le teint halé, des cheveux gris, un certain embonpoint, une poitrine très imposante, dans un ensemble pantalon en lin assez strict. Mais son regard suffit à voir qu’elle n’est pas commode, et à me sentir vraiment tout petit. Pierre se lève, lui dit qu’il lui laisse sa petite pute et qu’il revient dans un mois jour pour jour pour la récupérer, et sans va en l’embrassant, sans un regard, sans un mot pour moi. Je me sens perdu, je ne sais même pas si nous parlons un langage commun, mais je ne bouge pas, pétrifié.
    
    Son français est parfait même si je reconnais l’accent brésilien ...
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