1. Aller simple pour Rio


    Datte: 01/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: an75, Source: xHamster

    ... qu’il ne sait pas bien dans quel état seront mes couilles à l’arrivée, aucune n’a jamais éclaté mais comme je suis une proie rare qui change des brésiliens, il n’est pas sur que cela n’arrive pas avec moi. Il ajoute, comme s’il y pensait, que bien évidemment il n’y avait pas besoin de savoir si j’y avais pris du plaisir, et que donc il attendait de ma part une parfaite obéissance à tous ses désirs d’ici la fin de mon séjour au Brésil. Il avait évidemment raison, mais comment aurais-je pu deviner que je pourrais jouir de mes couilles maltraitées. Même là, écrasées au bord de l’évanouissement, je sentais mon pieu dur comme de la pierre. J’étais maudit.
    
    Déjà un autre homme me prenait et rien que la sodomie, la douleur dans mes couilles était ravivée. Heureusement chaque homme n’avait le droit de serrer d’un tour qu’une des 4 vis car j’en ai un grand nombre qui m’utilisèrent le cul ou la bouche. J’avais le ventre déjà rempli de sperme, et la coupelle à côté de moi débordait quand Pierre vint me dire que mon tour était fini. La nuit était tombée depuis longtemps et je réalisais alors que le vestiaire était très calme. Il me caresse les cheveux et me dit qu’il était très fier de moi. L n’y avait plus qu’à vider la coupelle. Pour cela je devais vider tous les préservatifs dans ladite coupelle et tout boire. Même si je n’étais plus à cela près, le faire ainsi à froid était vraiment difficile, humiliant et révoltant. Je lançais un regard implorant et Pierre me demanda de ne pas ...
    ... tout gâcher. Une fois encore la culpabilité, aussi j’obéis. Le mélange était bizarre on aurait dit, en fait je ne sais pas quoi. Je pris ma respiration, ce n’était qu’un petit moment à passer puis je serais libéré de ce carcan de couilles épouvantable. Sauf qu’il y en avait beaucoup et qu’il me faut plusieurs gorgées, j’ai très soif mais j’attends d’être libre pour demander à boire. Un homme que je ne vois pas desserre doucement les 4 vis, j’ai tellement mal, cette fois-ci je ne bande plus. Mes couilles sont toutes violettes, gonflées, méconnaissables. Je pleure d’émotion tandis que Pierre me prend dans ses bras. Il m’explique qu’il est très fier de moi et que j’ai vraiment un gros potentiel. Il a décidé de m’envoyer un mois dans une hacienda à quelques centaines de kilomètres pour que je suive là-bas une formation par une amie à lui. Je lève la tête surpris, lui disant que j’ai mon avion dans 10 jours. Mais comme mes cours ne reprennent pas avant deux mois, cela n’a pas d’importance, il me prendra un autre billet. Il pourrait me prendre même un billet en première classe mais une petite pute comme moi ne voyage pas en première classe me dit-il pour m’humilier. Et oui je suis très humilié d’être traité ainsi. Après m’être rincé de partout, nous rentrons en silence à son penthouse. Arrivé je lui dis que je ne suis pas d’accord. Que cela va trop loin. Je veux juste prendre du plaisir et découvrir plein de choses mais là c’est bien trop et ce n’est pas du tout ma vie. Pierre me ...
«12...171819...28»