1. Début de soumission


    Datte: 20/01/2018, Catégories: fh, hplusag, hsoumis, fdomine, revede, massage, Oral nopéné, sm, yeuxbandés, Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe

    Marie-Claude retourne chez Bébert, elle est repue pour quelques heures mais sa tête est toujours sur le grill et le dressage de Bébert l’occupe tout en l’excitant. Un vieux, comment ça se dresse, en douceur sûrement car par la force il gagnerait à tous les coups et c’est elle qui redeviendrait une soumise. Et là elle dit non, avec ce qu’elle a vécu, elle a beaucoup donné de ce côté. Donc de la douceur ferme et un petit plaisir de temps en temps pour le calmer et toujours le laisser espérer mais en gardant la cravache à portée de mains des fois qu’il se révolte. Oui, c’est un bon plan.
    
    Le couvert est mis comme elle l’a exigé mais au premier coup d’œil elle voit ce qui cloche. La petite table pour Bébert est placée juste dans l’axe de sa chaise et bien sûr il sera aux premières loges pour voir son sexe, ses cuisses, bref pour s’exciter un max. Bien joué Bébert, tu as tout compris.
    
    — Bébert, viens ici.
    — Oui Marie-Claude, j’arrive, quelque chose qui ne va pas ?
    — Je t’ai demandé de mettre ta table à mes pieds pas en face de mes pieds.
    — Ben c’est pareil, non.
    — Non c’est pas pareil, tu voulais te rincer l’œil sans rien dire, c’est mauvais pour ton cœur. Mets la table comme je te l’ai dit et vite, tu commences à m’agacer.
    
    Bébert s’exécute sans discuter car il a peur de la cravache que Marie-Claude tient dans sa main. Il sait qu’elle est capable de le fouetter sans scrupule juste pour le faire obéir. Alors il préfère filer doux… pour le moment. Il attend son heure, ...
    ... sûr de lui.
    
    Marie-Claude s’est assise à sa place, royale dans sa tenue totalement indécente car elle a déboutonné son corsage à moitié et ses seins sont quasiment à découvert, ce qui met le pauvre Bébert en émoi, comme si cela était encore nécessaire. Il bande, le pauvre, comme un taureau et Marie-Claude, qui le sait, en joue au-delà de la décence. Sa main, pendant que Bébert la sert, se pose sur la braguette de son pantalon. Elle lui masse le sexe doucement et elle le sent gonflé, dur mais coincé dans la toile du pantalon.
    
    — Je t’en prie Marie-Claude, arrête, j’ai mal, c’est trop tendu là dedans, ça me coince.
    
    Mais Marie-Claude s’en fout, ce qui compte c’est son plaisir à elle. Les émotions de Bébert, pour le moment, ce n’est pas son problème.
    
    — Ta gueule Bébert, finis ton service et mets-toi à genoux pour manger.
    
    Il s’exécute maladroitement et ils mangent en silence pendant quelques minutes, le temps de se caler un peu l’estomac.
    
    — À boire !
    — Oui Marie-Claude, voilà.
    
    Et il lui sert un verre de ce vin dont il lui a vanté les mérites. Marie-Claude le goûte et, ma foi, le trouve fort bon, doux au palais avec un je ne sais quoi de parfum de framboise.
    
    — Bien, retourne à ta place mais lèche-moi les pieds, tu as assez mangé.
    
    Bébert prend un des pieds de Marie-Claude dans sa main et commence à promener sa langue sur le dessus puis glisse doucement vers les orteils qu’il suce un par un en s’attardant longuement entre les orteils. Il imagine le sexe de ...
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