Ma bonne copine (2)
Datte: 31/07/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Schnaps91, Source: Xstory
Nous avons fini tard le déballage et le rangement de toutes ses affaires, alors Léa me proposa de dormir sur place. Après une petite soirée entre potes, je pris mes quartiers sur le canapé.
J’aurais aimé m’incruster dans son lit, mais je me résignais à considérer notre mésaventure de l’après-midi comme un one-shot. J’ai bien profité de ses culottes et j’ai pu assouvir un vieux fantasme, c’est déjà pas mal et je m’en serais voulus d’avoir insisté dans une direction que Léa n’aurait éventuellement pas appréciée. Je pris quand même la peine de me caresser un peu sous la couette en repensant à son petit sexe épilé, mais j’étais tellement fatigué que je me suis endormi en pleine action.
Cela dit, c’est Léa qui est venue me réveiller au petit matin.
— Bonjour, Théo, bien dormi ?
— Bonjour, Léa, lui répondis-je les yeux à moitié ouverts. Oui, bien dormi et toi ?
— Super bien, fit-elle en se mettant à califourchon sur moi par dessus la couette. Tu sais que j’ai repensé à ce qui s’est passé hier.
— Ah oui, ça t’a plus aussi finalement alors ?
— Ben oui quand même, t’es pas mal foutu non plus et j’avoue avoir adoré te voir jouir entre mes cuisses.
— Content que tu aies apprécié.
— J’ai tellement apprécié que ce matin au réveil, j’ai pas pu m’empêcher de me caresser.
— Ah oui ?
Je commençais gentiment à sentir ma queue se durcir et essayer de se frayer un chemin sous la couette. Dès le matin, il ne m’en fallait pas plus. Ça n’allait pas se calmer, vu que ...
... Léa se pencha vers moi pour me susurrer à l’oreille :
— Si tu veux, j’ai un petit cadeau pour toi. Je me suis caressée dans la culotte que je porte en ce moment, elle est encore tout humide de mon excitation. Si tu as envie, tu peux sentir ma mouille toute fraîche dans ma culotte.
— Oh, Léa, j’adorerais ça.
— Coquin, va.
Léa enleva lentement sa culotte sous mes yeux. Elle ne m’avait pas menti, sa mouille était encore bien fraîche, un petit filet de cyprine apparaissait entre son vagin et sa culotte, avant de disparaître complètement lorsque le tissu fut retiré.
— Tiens, mon grand, profite bien, ça va te plaire.
Je pris sa culotte entre mes mains et commença à observer l’étoffe. Je contemplais quelques instants sa cyprine encore brillante et passa mon doigt pour en récolter quelques menus échantillons. Pendant ce temps-là, ma tendre amie enleva la couette et posa sa main sur ma queue bien raide. Elle la caressa un petit moment à travers mon caleçon, comme pour faire durer le plaisir avant de dévoiler l’engin. Elle finit par l’attraper par les côtés et le retira doucement. Ma queue bandait tellement fort ! Léa, d’un coup de langue, lécha le bout de mon gland afin de prendre les quelques gouttes de liquide qui s’en échappait.
De mon côté, je plongeais mon nez au milieu de l’étoffe visqueuse, et humait cette fragrance forte et douce à la fois. Ce n’était pas comme la veille, l’odeur était légèrement différente, mais tout aussi excitante, j’imaginais Léa dans ...