Plaisir sans contrainte
Datte: 31/07/2020,
Catégories:
ff,
fhhh,
Auteur: Nooz, Source: Revebebe
... autres protagonistes ont profité de sa jouissance pour se rapprocher et caresser son dos et ses seins, prolongeant les vagues qui continuent à la secouer. Elle aurait aimé que l’homme qui avait déclenché son orgasme se vide en elle, mais ce n’est pas le cas, et son sexe ressort tendu de son écrin. Elle hésite à se retourner et honorer ce beau dard, mais l’homme ne semble pas frustré par la situation et reprend l’initiative ; il écarte ses fesses, et sa langue se dirige directement sur le petit œillet et le titille. L’invitation est explicite ; elle peut refuser en resserrant son postérieur, il stoppe sa caresse, attendant la réponse à sa demande… qui vient de façon détournée. Marie agrippe les fesses de la jeune fille, et sa langue écarte la vulve et se délecte du jus poisseux qu’elle recueille. L’homme derrière elle vient de faire pénétrer son pouce dans l’étroite porte ; elle se cambre et s’ouvre plus sous la caresse. Le petit murmure de satisfaction qu’elle entend derrière elle la comble : elle va se faire sodomiser et rendre un homme heureux.
À sa grande déception, l’homme au sexe énorme a disparu, mais il lui reste la petite chatte qu’elle explore de toute la longueur de son appendice lingual sous les gémissements plus aigus de sa partenaire. La modulation varie quand elle s’attaque au petit bouton ; les halètements de la jeune femme lui indiquent que sa caresse porte ses fruits, elle insiste. Trois doigts fouillent maintenant son rectum, lentement. Pour montrer ...
... sa totale soumission, elle abandonne le minou juteux, fléchit les bras et remonte son postérieur dans une invitation impudique. L’homme comprend. Ses doigts l’abandonnent, et après un léger tâtonnement dû à l’obscurité, le gland repousse doucement les sphincters préparés. Marie se concentre sur l’intrusion qui progresse en son rectum ; elle est surprise par la facilité de l’avance. Le gland écarte ses chairs, et le fait que ce soit un inconnu qui la sodomise augmente encore son plaisir.
Elle pousse un petit cri consécutif à une légère douleur lorsque le gland traverse la fragile barrière. Le membre fait une pause ; elle sent une main légère, féminine, qui joue avec son clitoris. Le membre reprend son cheminement, et les hanches de l’homme butent contre son fessier ; elle se sent bien remplie. Il commence un doux va-et-vient qui leur arrache, à tous les deux, des geignements et des petits mots doux ou orduriers selon le niveau d’excitation. Le doigt qui fait rouler son clitoris et le sexe qui pilonne de plus en plus fortement son fessier ont changé le niveau sonore de leurs ébats. Chaque assaut qui fait ruer en elle la colonne de chair déclenche des cris et des tremblements énormes : personne dans la salle ne peut ignorer le niveau de plaisir que les deux impétrants ressentent. Quand, soudain, elle sent le sexe qui la perfore se vider dans son rectum, elle se libère en une longue plainte qui déchire l’obscurité. Une multitude de flashs lumineux éclairent son cerveau. Le ...