1. Marie et le sculpteur aveugle (6)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory

    ... extra-terrestre.
    
    Je cours et manque de tomber dans les marches et gagne l’abri où se trouve un groupe de personnes en attente de l’autre bus pour l’hôpital.
    
    Mais les trois étudiants réussissent encore à descendre ! Ils ont rapidement rengainé leur arsenal et me rejoignent de nouveau mais le manque d’intimité et le regard des autres voyageurs sous l’abri de bus les empêchent de reprendre leur tripotage en règle.
    
    Cependant, ils se collent à moi et commencent à se monter le bourrichon entre eux.
    
    « Regarde, elle aime ça… » « Évidemment, on voit bien qu’elle cherche ; autrement, elle ne se baladerait pas à moitié à poil dans les bus » « On va finir ce qu’on a commencé… »
    
    Ils parlent entre eux en ignorant ma présence alors que j’entends tout ce qu’ils disent. Peut-être attendent-t ’ils mon acquiescement ?
    
    Qui ne viendra pas évidemment, mais je me rends compte que la situation m’excite. Contrairement aux racailles de l’autre jour, ceux-là ne sont visiblement pas violents et sont même très mignons. Est-ce qu’ils s’en rendent compte. Je ne saurais dire, mais mon peu d’empressement à me soustraire à eux ne plaide pas en ma faveur.
    
    Je me retourne, dos à eux et face à un des côtés de l’abri pour remettre ma chemise dans ma jupe mais je n’ai pas le temps de la reboutonner que le dernier bus que je dois prendre arrive.
    
    Je monte. Il y a du monde et je ne vois pas de places assises. Je dois encore me tenir à une poignée suspendue. Je regarde si les trois ados ...
    ... sont montés. Je l’espère presque ! Je suis folle je me dis. Comment puis-je souhaiter être harcelée ainsi ?
    
    Quand je les vois me suivre dans le bus, je suis presque contente mais aussi affolée de ce qui va se passer. Mon cœur bat à tout rompre et ma libido bondit.
    
    Ils se collent à moi et m’entrainent vers le fond du bus en tirant sur mon chemisier maintenant entièrement déboutonné que je retiens comme je peux d’une main et en tenant le sac d’Alain de l’autre. Le bus accélère et je n’ai plus de main de libre pour me tenir ; alors deux des étudiants me retiennent de leurs mains salvatrices et baladeuses.
    
    Des places assises sont libres au fond du bus et ils me forcent à m’assoir sur un siège unique, dos à la route et donc à tous les autres passagers. Ils s’assoient à leur tour sur une banquette mais face à moi. Très vite, l’un d’eux allonge sa jambe et l’insère entre mes genoux pour me forcer à les écarter. Je veux me lever pour me soustraire, mais l’un d’eux se met debout et passe derrière moi pour me faire rassoir en gardant ses mains sur mes épaules. Je me débats mais mollement et juste pour la forme car je suis incroyablement excitée par la situation.
    
    Le jeune derrière moi me saisit alors les bras et les passe derrière mon siège pour les bloquer avec ses cuisses. Mes bras sont tellement tirés que mes omoplates se touchent presque et je suis complètement entravée. Ma poitrine se trouve violemment propulsée en avant. Tellement que les pans de ma chemise s’ouvrent ...
«12...567...19»