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Marie et le sculpteur aveugle (6)
Datte: 31/07/2020, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory
... ton jovial avec un sourire sarcastique en retirant ses lunettes de soleil pour mieux m’ausculter. Mes généreuses rondeurs sont outrageusement exposées de tous les côtés et c’est avec un sourire gêné et une main maladroite que je salue ce nouvel invité. "Je te présente Manuel; il dirige un Club dont je t’ai parlé" « Nous nous sommes parlés au téléphone, vous vous rappelez ? Je suis, et mes clients aussi, nous sommes de grands fans de vous vous savez ! » Je rougis en souriant niaisement et croise mes jambes en tripotant le bas de mon T-shirt qui goutte. Puis je me croise les mains sur le devant en essayant d’en cacher le plus possible... Enfin... plutôt d’en montrer le moins possible serait plus exact. "Asseyez-vous" "Oui, asseyez-vous mademoiselle" ajoute Manuel. « Je…j’allais partir… » Lucien a apporté un tabouret et m’invite à m’y assoir autoritairement : « Assis-toi » Seulement, le problème quand on s’assoit, c’est que le T-shirt remonte et dévoile les cuisses jusqu’en haut... et que quand on n’a pas pris la précaution de mettre son short, eh ben... voilà. Je suis prise d’un fard. Je serre les cuisses et tire comme je peux sur le bas du Marcel trempé alors que le client reste les yeux rivés sur moi et manque presque de s’assoir à côté de sa propre chaise. Il faut dire que plus je tire sur le bas et plus le haut descend et les bretelles s’affinent... Va falloir choisir je me dis ! Mes mamelons jouent à cache-cache derrière le fin tissu ...
... que je tente de réajuster constamment. Il a les yeux tellement scotchés dessus que je suis prise d’un petit rire nerveux qui fait tressauter mes nichons et mes tétons qui apparaissent et disparaissent au gré de mes secousses. « Oups ! » Je fais en m’esclaffant comme une nigaude. Le client a la mâchoire qui descend au fur et à mesure que mes bouts de sein ne trouvent plus d’endroit pour se cacher. Et comme une gourde, je ne trouve pas mieux que de joindre mes mains pour tirer le vêtement entre mes jambes ce qui coince, écrase et fait ressortir ma poitrine entre mes bras. Mes seins se touchent et gonflent démesurément sous ses yeux lubriques. « Marie, tu peux aller nous chercher de la citronnade et des petits gâteaux s’il te plait ? » « Avec plaisir ! » Je me sens soulagée de pouvoir m’éclipser et me soustraire au regard méchamment insistant de Manuel. Alors je me lève d’un coup, pars en lui tournant le dos et en tirant sur le T-shirt pour bien couvrir mes fesses. C’est quand je reviens que c’est plus compliqué, avec la boite à gâteaux dans une main, et la citronnade dans l’autre. Je marche vers eux d’une démarche naturellement chaloupée que Manuel, épaté, ne peut que constater l’indécent balancement de mes seins qui passent et repassent derrière les bretelles. Surtout en dehors… Manuel est fasciné. Plus je m’approche, plus ses yeux font de même : Il louche tellement, qu’on dirait un cyclope ! Je pose le tout en m’accroupissant et au moment de me rassoir, ...