1. APRES LA COPINE, CE SERA AU TOUR DU COPAIN...


    Datte: 30/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... traits du jeune homme. Je sortis de ma poche la liasse de billets, en soutirai trois de cent francs que je tendis au garçon. Il fixait les billets, tout en faisant la moue.
    
    - Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu en fais une tête… le compte n’y est pas .
    
    - J’aurais dû en demander plus, si j’avais su.
    
    J’eus un gros rire et lui frappai l’épaule.
    
    - Il y en aura un petit un bonus si ta môme est vraiment une bonne cochonne, assurais-je.
    
    Je m’approchais d’elle. Une âcre odeur de sueur fouetta mes narines. Je me grisais de cette délectable fragrance caractéristique aux jeunes filles. Magali me toisa avec un sourire d’une infinie perversité. Je pris dans ma main sa cheville et fis tomber sa basket. Elle se laissa faire, soumise à mes fantaisies. Son pied était adorable. À travers la transparence de son collant je distinguais ses ongles
    
    délicatement vernis. Sa plante de pied était légèrement rosie par la transpiration. Une petite callosité était visible sur le côté.
    
    Je portai ce superbe peton à mon nez, que je glissais entre ses orteils. L’odeur était très, très entêtante. Mais pour moi très, très supportable. Je bandais dur. Je donnai l’instruction au copain d’ouvrir le clic-clac.
    
    Avec la force des bras, mais aussi parce qu’elle n’était pas très lourde j’ai pu passer ses jambes de chaque côté de ma tête. En appui sur mes épaules. Dans une posture de 69, debout. Mon nez à hauteur de sa fourche odorante. Dans l’action sa jupe s’était retroussé d’elle-même. Une odeur ...
    ... salée s'en dégageait. Mes oreilles bourdonnaient. J’ai enfoui ma figure entre ses cuisses chaudes et plongeais mon nez dans sa toison aux poils collés par la transpiration et la mouille plaquait par les mailles du collant. Elle se laissa aller. Creusant son ventre pour que son sexe s’écrase contre ma bouche. Je n’entendais pas ses gémissements, seuls les bruits de ma respiration.
    
    Tout en dévorant son minou, je remuais mon bas-ventre d’avant en arrière. Une invite muette pour qu’elle s’occupe enfin de moi. Mais rien n’y fit. Elle restait inactive. Je mis ça sur le compte de la position renversée. Il avait fallu que je renouvelle à plusieurs reprises ma danse du bassin pour qu’elle comprenne, et s’attaque enfin à la fermeture Éclair de ma braguette. J’ai poussé un gémissement étouffé quand elle a entouré mon membre de ses doigts. Comme j’ai tressailli quand elle m’a frôlé les couilles, avant de reprendre ma verge.
    
    Avec une émotion intense, je me suis senti encore gonfler dans sa main.
    
    Nous avions pris la pose un petit moment. Moi lui suçant l'entrejambe à travers le nylon, elle à me branler. Son poignet avait trouvé le rythme approprié pour une bonne masturbation. Je m’entendais respirer plus fort. Machinalement elle ralentit sa manipulation.
    
    - Non…, haletais-je, n’arrête pas… s’il te plaît.
    
    Elle eut une très brève hésitation, puis sa main reprit du service, plus fort et plus vite. J’ai attendu de sentir les premiers picotements annonçant une éjaculation éminente, ...