SOUS-TRAITANCE
Datte: 30/07/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Tamalou, Source: Hds
... plus rauque et le balancement de ses hanches plus saccadé.
J'ai presque éjaculé dans mon pantalon. Sérieux, cette fille me rendait fou de désir.
Doris finit par lâcher mes cheveux et s'effondra languissamment sur la table de la cuisine, haletante et repue.
Je me levais et je frottais mes genoux lorsque ma femme entra dans la cuisine. Elle portait un panier de linge.
"Alors comment c'était?"
"Génial" j'ai soufflé.
"Je demandais à Doris, idiot!" elle levait les yeux au ciel en secouant la tête. "Alors, bien?"
Doris repoussa ses cheveux blonds de son visage et leva les yeux: "Tu rates sérieusement quelque chose, Marion. Il est vraiment, vraiment bon à baiser."
"Je vais devoir te croire sur parole" sourit ma femme. "Les vêtements d'entraînement, tu les laves avec le blanc ou séparément?"
"Séparément."
"Bien. Tu vas baiser mon mari maintenant ou plus tard?"
"Maintenant. Et aussi plus tard! J'ai du retard à rattraper."
"D'accord, mais laisse-m'en un peu. J'aime bien avoir un petit coup avant de dormir. Tu veux que je le suce un peu? Tu sais, pour le lubrifier?"
"Sérieux? T'es géniale. J'aime pas trop sucer. Un peu plus de friction dans les fesses, c'est mieux. Ça fait plus d'effet."
Souriante, ma femme posa son panier à linge et s'agenouilla devant moi.
"Allez chéri, enlève ton pantalon, que je prépare ta queue pour le cul de cette gentille fille!"
Ma femme était en train de baver sur ma bite sous les yeux d'une jeune blonde nubile ...
... qui attendait que je la sodomise.
Je devais être mort depuis peu parce que là, j'étais au paradis! De toute façon, mort ou pas, je n'avais jamais été aussi raide!
J'ai présenté ma verge tendue devant l'orifice de Doris sous l’œil inquiet de ma femme:
"T'es sûre d'être prête pour ça, Doris? T'as pas peur qu'il te blesse?"
"Pas de risque, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas. Tout va bien!"
"D'accord, c'est ton cul, ma vieille!" gloussa Marion. "Je me sauve. Je risque d'avoir mal juste en regardant!"
À plat ventre sur la table de la cuisine, Doris ouvrit ses jambes et agrippa ses fesses à deux mains pour les écarter, tandis que je présentais contre son orifice anal mon érection exigeante.
Même si j'avais préparé son petit trou avec ma salive, et que je dégoulinais de celle de la femme, mon sexe butait contre son bouton de rose. Mais la jeune Doris savait ce qu'elle faisait.
"Donne-moi une seconde..." elle expira doucement. J'ai arrêté de pousser, mais je suis resté au contact de son entrée de service.
J'ai senti son sphincter pulser et s'étirer tandis qu'elle respirait profondément pour se détendre. Elle s'entrouvrit légèrement.
"OK, vas-y, pousse maintenant," dit-elle doucement.
Je l'ai fait et ça a marché. Je vis mon gland disparaître lentement à l'intérieur, puis ma hampe glissa à sa suite dans le conduit étroit sans qu'elle n'émette la moindre protestation. Je ne me souvenais pas que le sexe anal était si bon!
Je glissais en elle presque ...