Voyage en Corse
Datte: 30/07/2020,
Catégories:
Hardcore,
Lesbienne
Mature,
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... dénuement, fellation, cunnilingus, elles se laissent caresser sans compter, provocantes, lianes, traîtresses, s’offrant aux mains, aux langues, s’ouvrant pour être dévorées par nos monstres machos…
L’une sur le sofa, l’autre debout, une cuisse relevée, le pied sur un tabouret… Fellation consommée…
Elles se libèrent, se séparent de leurs amants, se rejoignent, se caressent puis se donnent en spectacle au milieu du canapé, figures libres, consenties, léchage, partage, sodomie, tendresse…
Elles se donnent à fond dans ces débordements lesbiens, sexe contre sexe, doigtage, fistage, sonorités aiguës, plaintes et soupirs, tendresse, domination, soumission, orgasme…
Puis elles viennent quémander le mâle… Elles les invitent, leur offrent leurs atours, se donnent en conscience, prennent leur temps, guident leurs amants, jusqu’à s’offrir enfin, l’une conquérante amazone, l’autre soumise écartelée…
Elles jouissent dès les premiers assauts, puis leurs compagnons les portent vers le plaisir, tendres, parfois conquérants, elles se laissent conduire sans tricher, prises par le jeu, changent de partenaire, recommencent à les goûter, saliver, se laisser emporter, se laisser posséder par un autre, délirer de plaisir, jouir… Jouir… Jouir…
Je coule béate, tandis qu’elle se masturbe depuis quelques minutes, je prends le relais, on change de position, le désir est trop intense, un soixante-neuf, jusqu’à la jouissance, jusqu’à l’orgasme vaginal, trempées de sueur, épuisées par ce ...
... combat…
Ils les possèdent toujours quand notre porte s’ouvre et nos antillais se glissent contre nous et nous partagent…
J’en avais besoin, voir mon Romain ahaner sur cette jeunesse, Thierry dont je peux enfin savourer des yeux l’anatomie, les caresses de Magdalena, commençaient à me rendre folle de désir…
Après un long baiser, un léchage fortement apprécié, il investit ma chatte, pousse, m’introduit et je bêle bêtement, sans attendre, donnant immédiatement le LA à ma complice…
Le long pénis décalotté s’approche doucement des poils soyeux, glisse lentement cherchant sa voie, puis au fond de la vallée, trouve la grotte inondée qui se dévoile, l’entrée gorgée de sang si excitée qu’elle se soulève son bassin vers lui, attendant son bon vouloir…
Le gland passe la porte, elle crie, un petit cri de surprise et il commence sa lente exploration, cette montée vers le plaisir, lente parfois, parfois plus hard, qui la contraint à gémir, ivresse des sens, jusqu’à se contorsionner pour mieux le ressentir en elle et provoquer l’orgasme salvateur…
Je gémis, soupire, me donne aussi, l’attire, le veut encore et encore…
Il grossit en moi, et je perds la notion du temps, n’entends plus les gémissements de mon amie, ses envolées lyriques… Je me concentre sur ce sexe qui se faufile, je soulève mon bassin, relève mes cuisses…
Il est en moi, niché dans mon intimité, savourant mon fourreau, prenant un temps de repos…
Je serre mon vagin, il se réveille, grommelle, s’enfonce ...