Découverte de ma perversion (1)
Datte: 30/07/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: phoenix151, Source: Xstory
... homme. Merci pour mes yeux, mais...on parlait pas de mes yeux, n’est-ce pas ?
— En effet, on parlait de ton sein...
Je suis tout rouge. Le sang bat à mes tempes. J’ai les mains moites. Coco pose son téléphone. Elle retire son pull, puis dégrafe son soutif. Elle apparaît seins nus devant l’écran. Ses seins ne sont pas très gros, je dirais un 85B. Ronds et fermes avec de petits bouts tendus. Elle titille doucement ses tétons et s’approche de la cam en souriant. Elle reprend son téléphone.
— Convaincu que ce sein est bien le mien ?
— Euh...Oui...
J’ai du mal à parler. Elle reprend son pull et commence à le remettre. Je ne le veux pas ; au contraire, je voudrais que tout le reste disparaisse. Je la veux nue, là, pour moi.
— Non, s’il te plaît, reste comme ça.
— OK, mais toi aussi, tu tombes le haut : je veux voir ton torse.
Alors, cela, ce n’était pas prévu. Je complexe beaucoup : avant trop gros, aujourd’hui trop maigre et de surcroît, trop poilu; et cela fait un moment que je ne me suis pas tondu. Mais l’excitation est la plus forte. Sans dire un mot, j’ôte mon sweat et me retrouve à égalité avec elle. Elle joue avec ses tétons et j’entends sa respiration s’accélérer.
— Hummm, pas mal. On fait quoi maintenant ? Tu veux en voir plus ?
— Oui...
— Demande-moi...
— Je veux voir tes fesses...
— Ça tombe bien, j’ai un nouveau string. Regarde.
Joignant le geste à la parole, elle pose son téléphone et retire son jean, se tourne et me présente ...
... deux globes rebondis. Machinalement, ma main va sur mon sexe et je le caresse doucement sous mon jean.
— Tu bandes ?
— Oui.
J’ai le souffle court et ne sais pas quoi dire. Elle retire son string. La voilà nue face à moi ; son minou tout épilé manque de me faire éjaculer dans mon jean.
— Moi, je mouille comme une folle : va falloir que je me caresse un peu. Dis, je peux voir tes fesses moi aussi ?
Comme une pulsion ; plus aucune réticence. Je retire jean et boxer en lui tournant le dos. Elle passe sa langue sur ses lèvres. Moi aussi j’ai besoin de me faire du bien.
— Et ta queue...Je n’y ai pas droit ?
Comme tous les mecs, j’ai ce complexe de taille. Sans trop savoir comment je suis : trop court, pas assez épais ? Bref, j’ose. Je lui fais face.
— Hum, quelle belle queue ! Je la sucerais volontiers.
Ses doigts jouent déjà avec son clitoris. Mes mains vont vers mon sexe que j’attrape presque sans m’en rendre compte, et là, je commence à m’astiquer devant cette belle inconnue.
— Attends, je prends une position plus confortable...
Son image bouge dans tous les sens, et d’un coup, j’ai un gros plan sur la chaise où elle s’assoit, les jambes grandes ouvertes : je n’ignore plus rien de Corinne. Elle commence doucement par son petit clitoris, puis un doigt glisse entre ses lèvres fines. Puis deux, puis trois...
Je fais comme elle. On ne voit plus nos visages ; que nos sexes. La vue de mon sexe ainsi exposé m’excite à mort. Je prends autant de plaisir ...