1. Un bel après-midi


    Datte: 29/07/2020, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: byberto41, Source: Literotica

    ... voudrais que vous me bouffiez le cul » Au point où elle en était je m'attendais à tout, mais pas à une demande aussi directe et aussi crue.
    
    « Allez, bouffe moi, lèche moi, tète moi la chatte, tu crois que je n'ai jamais remarqué comment tu me m'observes à chaque fois que nous nous croisons! Décides-toi, nous n'avons pas tout l'après-midi devant nous, il faut que je passe chercher ma petite à l'école »
    
    Je me glissais entre ses belles cuisses lui arrachais sa culotte. Elle avait une belle motte, plutôt blondasse dans laquelle j'enfouis mon nez pour débroussailler un passage jusqu'à son intimité dégageant ainsi ses petites lèvres, puis commençais fébrilement à activer ma langue.
    
    Comme la caverne d'Ali Baba sa foufoune s'ouvrit, humide, tiède mon nez captait une bonne odeur de petit cul mouillant. Je lui levais les cuisses et les calais en les écartant au maximum ,sur mes épaules. Un bref instant je contemplais sa chatte bien ouverte, d'un rose nacré et son petit trou du cul bien serré. Puis je m'activais comme un malade sur sa vulve, dégageant son clitoris que je me mis à léchouiller gloutonnement, je léchais, je suçais et aspirais, sa jouissance avec avidité . Pendant un bon quart d'heure je continuais à lui en donner un max. Puis n'y tenant plus je me dégageais pour pouvoir me débarrasser suffisamment de mon jean afin de passer aux choses sérieuses .
    
    Mon braquemart l'empala rentrant dans sa vulve comme dans du beurre. En appui sur mes bras je la trombonnais ...
    ... méthodiquement aussi fortement que je pensais pouvoir sans maltraiter son « gros ventre », la vue de ses nibards tremblant au rythme de mes coups de boutoirs m'excitait et m'incitait à la défoncer.
    
    Quand je pense que je prenait ma voisine pour une bonne petite épouse, gentille aimante, et qu'elle se révélait être affamée de baise malgré son gros ventre.
    
    « Robert, ne gâches pas « ta marchandise », je veux que tu jouisses dans ma bouche je veux avaler ton foutre. J'ai toujours eu envie de faire des pipes, mais mon mari ne connaît que la position du missionnaire et encore dans le noir! »
    
    Je ne me fis pas prier pour lui enfourner ma bite gluante dans sa jolie bouche, juste à temps je sentis partir, un long trait d'abord, bien au fond de sa glotte, je me retirais pour venir lâcher le reste sur son visage, ma façon à moi de marquer mon territoire en quelque sorte!
    
    Inutile de vous dire que j'étais aux anges, et à la voir laper avec appétit, les dégoulinures de sperme qui maculaient son joli minois, je n'étais pas peu fier de moi, toutefois n'y tenant pas je lui dis « J'espère que nous n'allons pas en rester là! »
    
    Je regardais ma montre, 16h15, dans un quart d'heure sa môme allait sortir de l'école, On avaient intérêt à faire fissa! Je l'aidais à emprisonner ses rondeurs dans son soutien-gorge ; elle refusa la boite de kleenex que je lui tendais et enfila sa petite culotte, puis sa robe. Puis je l'emmenais jusqu'à l'école « On a plus le temps pour ma voiture dit-elle, demain ...