Une histoire d'amour libre
Datte: 29/07/2020,
Catégories:
Lesbienne
Partouze / Groupe
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... tu me pénètrerais. La blonde materait ta bite qui ferait des va-et-vient en moi, et elle serait trempée, cette salope. Je crois que j’aimerais bien te voir baiser une blonde. »
« Ce genre de pétasse ? »
« Oui, ou n’importe quelle blonde. »
Elle se caressait le clitoris à présent, tandis que je lui malaxais le sein gauche, tout en regardant l’écran.
« On a qu’à se faire un club échangiste, un de ces soirs, dis-je. »
« Pourquoi pas, ça fait longtemps. Vendredi ? »
« Il y a trop de monde le vendredi. »
« Et pas assez le jeudi, dit Célia en accélérant le mouvement de ses doigts entre ses cuisses. Tu vas te faire des clubs, à Toulouse ? »
« Je ne sais pas. Peut-être. »
« Ou des putes ? »
« Oui, plutôt des putes. »
« Tu me le diras si tu le fais ? »
« Oui, évidemment. »
« Par téléphone, tu me raconteras ? »
« Par téléphone et à mon retour, je te dirai tout. Et toi, qu’est-ce que tu penses faire en mon absence ? »
« Je ne sais pas trop encore. Peut-être sortir toute seule en ville certains soirs, et voir ce qui se passe. »
« Tu ramènerais des mecs ici ? »
« Ça t’ennuierait que je le fasse ? »
J’ai haussé une épaule en portant les yeux à la chatte de Célia et à ses cuisses bien ouvertes à présent.
« Non, fais-le. »
« Je vais sans doute le faire, dit-elle en fermant les yeux et en agitant de plus en plus vite ses doigts. »
« Fais-toi jouir, salope. »
Elle ne répondit pas. Elle grimaçait sous le plaisir qui montait en ...
... elle. J’avais cessé de la toucher afin de défaire mon pantalon. Je me suis cambré et je l’ai baissé en même temps que mon caleçon.
Puis Célia a joui bruyamment près de moi, sans se soucier que les voisins du dessous puissent entendre ou pas. Elle n’en avait rien à faire, y compris quand on baisait dans la chambre, juste au-dessus de la leur, le nombre de fois où ils avaient dû nous entendre…
C’était ainsi avec Célia. Nous étions ensemble depuis quatre ans, mais dès la première année on s’était rendu à l’évidence : ni elle ni moi ne pouvait rester fidèle bien longtemps. Alors nous avions parlé. Nous tenions l’un à l’autre et on aimait baiser ensemble. La solution s’est imposée assez vite : nous nous sommes mis à fréquenter des clubs, à rencontrer des couples grâce à des sites internet, mais aussi à avoir des relations libres chacun de notre côté. Cela nous convenait. Le corps de l’autre ne nous appartient pas. Son esprit encore moins. Encore heureux… On n’a qu’une vie, je crois, alors autant en tirer du plaisir et éviter de se faire trop de mal. De toute façon, du début à la fin, en dépit des règles morales qui minent notre société, nous sommes seul du début à la fin, de notre enfance au jour de nos funérailles. Et ni Célia ni moi n’avions envie de se mordre les doigts de remords sur notre lit de mort. Alors voilà.
Ce soir-là, nous sommes restés dans le salon pour baiser. Nous avions éteint la télé et terminé nos verres après que Célia ait joui.
Elle me raconta qu’à ...