Marie - Ange & Démon (7)
Datte: 28/07/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... Marie ? ""Marie salope !"" C’est à se demander si ce n’est pas elle qui est à l’origine de cette expression ! Pour elle, il n’y a aucun doute, elle est définitivement perdue pour la petite vie de famille. Il en faudrait à son mari pour la satisfaire !
Elle est une parfaite Égérie qui inspire et propose tout ce dont les hommes ont envie. La beauté. La jeunesse. L’honorabilité de la croyante qui pratique sa foi. Mais aussi la sensualité qui transpire sous la bure. Vicieuse. Perverse. Catin. Pute.
Mais oui comment doit-on appeler une femme qui se prête à nos jeux ? Qui veut se venger ? Se venger, la belle excuse ! Se venger alors qu’elle est la cause du délit ! Qui suggère sans avoir l’air d’y toucher : ""je veux voir, mais il ne doit pas savoir"".
Et c’est le cas. Le bandeau n’est pas vraiment opaque, il laisse passer assez de lumière pour qu’elle distingue des formes, des silhouettes et mieux…
Et Marc croyant être le "gagnant" la regarde. Elle est donc devant lui. C’est elle, mais pas elle. Le même visage, le même corps, les mêmes courbes, mais un sourire plus charnel, des joues plus roses, une attitude bien éloignée de la prude Marie. Il faut dire que le bandeau n’est pas tout. Marie porte un bustier de résille noire qui part des seins, écrasés sous le tissu transparent, jusqu’aux reins et d’où partent des attaches qui retiennent des bas comme un porte-jarretelle le ferait. Les bas sont noirs aussi. La culotte : un triangle minuscule et transparent attire le ...
... regard sur une chatte dont tous les poils ont été enlevés.
— Tourne-toi ! Qu’il puisse voir ton cul.
Elle tourne et sous le triangle réduit à sa plus simple expression, on devine l’éclat d’une pierre, signature d’un plug qui doit occuper et déformer ce cul que Marc rêve d’occuper. Mais il voit aussi ce qui pend du collier en cuir autour du cou, une laisse également en cuir noir signe, s’il en fallait un, de la position de soumise de son ex.
— Il s’appelle Jean et il va te baiser. Dis-je.
— Bonjour Jean.
Dit Marie qui regarde maintenant dans la direction de ma voix.
— Il ne te répondra pas. Il n’est pas autorisé à parler.
— Ah !
— Tu vas commencer par le déshabiller. Voilà, je te guide.
Marie est face à lui. Je viens de poser ses mains sur les épaules de Marc. Elle trouve les boutons de la chemise. Marc n’ose pas bouger. Il se laisse faire. La chemise tombe au sol. Elle s’attaque à la ceinture, la braguette. Il soulève chaque jambe lorsqu’elle tire le pantalon vers le bas. Vient le moment du slip. La perfide passe sa main sur la bosse avant de tirer sur l’élastique. Il ne bande pas. Pourtant, j’aurais parié qu’il serait déjà excité. Mais non, probablement que notre présence et cette atmosphère particulière le bloquent un peu.
Il est nu. Même les chaussettes et les chaussures sont parties. Marie s’est immobilisée, chienne bien dressée attendant un ordre de ses maîtres.
Georges et moi échangeons un regard complice agrémenté d’un sourire. Marc attend ...