Causerie sans culotte
Datte: 27/07/2020,
Catégories:
fh,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
Auteur: Bonobo, Source: Revebebe
— Salut, ma Chatoune, je viens enfin te voir, et tu vas pas être déçue !
—Mmmm, monsieur Dard, votre raideur me ravit et votre gland me flatte.
— Mais c’est le paradis comme t’es mouillée. Un plaisir de me frotter le gland contre tes lèvres. J’vais t’les écarter un peu !
—Écartez, mon cher, écartez ! Mais, de grâce, soyez doux, je suis encore toute chiffonnée des doigts de votre propriétaire.
— T’as raison ma poulette. Il a un côté rustique quand il est excité à mort, et ta maîtresse, cette chienne, est en train de le rendre fou. Moi aussi, d’ailleurs ! Et alors, on peut plus se retenir.
—Mais, ne vous méprenez pas… j’ai beaucoup aimé ce qu’il m’a fait. Quand il a pris mes lèvres entre ses doigts et qu’il les a frottées l’une contre l’autre, j’ai senti le sang affluer et toutes mes terminaisons s’affûter. Et puis quand, au travers, il a fait rouler mon clitounet joli, j’ai commencé à envoyer toutes sortes de signaux de plaisir dans le corps de ma maîtresse. Son ventre m’a tout de suite répondu qu’il s’enflammait et ses seins m’ont fait savoir que leurs pointes se mettaient au garde-à-vous…
— Oh la vilaine Chatoune ! Tu m’provoques ? Tu crois que je n’arriverai pas à t’faire jouir avec mes moyens à moi ? T’as aimé t’faire doigter, garce ? Attends d’être queutée !
—Mais non, mais non, ne soyez pas amer ! Vous avez sur les doigts des avantages énormes. D’abord, vous êtes beaucoup plus doux. Mmmm ! Votre gland et votre peau glissante qui vient prolonger, amplifier l’effet ...
... de votre tête joufflue sur mes petites lèvres est d’une douceur exquise. Ne les sentez-vous pas qui se gonflent de plaisir ?
— Oh que si ! T’as la motte qui s’enfle et bave. On dirait des gouttes de miel sur un lit de beurre fondant. Rien qu’à te toucher, j’durcis encore plus. Et t’aimes ça, hein ?
—En plus, vous êtes d’une taille bien plus respectable que ces doigts tout fins. D’un seul mouvement vous embrasez la totalité de moi-même. Si vous saviez mon impatience de vous sentir me pénétrer, me remplir toute entière. Mais, que se passe-t-il ? Pourquoi partez-vous ? Daaaaard ! Oh nooon !… Oh n… Oh… Oh ouiiii…
… ENTRACTE…
— Pardonne-moi, ma Chatounette, j’suis maintenant d’retour, et encore plus fou qu’avant !
—C’est que, mon bon Dard, votre patron avait entrepris de me faire minette. Et, il me faut l’avouer, c’est un artiste, un très grand artiste. J’en suis encore toute étourdie… Figurez-vous qu’il a commencé là où vous avez terminé. Une langue bien large a essuyé les perles de rosée que vous aviez fait sourdre de mon intimité. Ce contact enveloppant, presque rugueux, c’était follement bath. Puis le muscle s’est affiné pour s’insinuer, ramper souplement, flatter mes muqueuses enflammées. Aaahhh, que c’était bon ! Quelle volupté ! Ma maîtresse n’a pas su y résister : d’un mouvement du bassin, elle m’a projeté sur cette bouche, écrasant mes chairs à la recherche inconsciente d’un contact plus brutal.
— Incroyable ! À c’point-là, ton clito criait famine ?
—Mais, Dieu ...