1. Marie et moi sur les chemins de la perversion (6)


    Datte: 27/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: maitrec83, Source: Xstory

    ... permit de respirer un peu car le sexe de Stéphane ayant repris toute sa vigueur commençait à l’étouffer. Le plaisir cette fois-ci redevint physique et la douleur passée elle commença à nous imprimer elle-même son propre rythme tout en gémissant. Dans sa tête tout se bousculait, elle se sentait dégradée oui, mais le plaisir montait de plus en plus même son cul que je défonçais irradiait des ondes de plaisir dans sa chatte. Elle n’était plus qu’une machine à plaisir elle voulait nous sentir jouir.
    
    Je fus le premier à partir dans de longs râles. Sentant le liquide chaud envahir ses intestins Marie eut un orgasme si fort qu’il lui fit lâcher la bite de Stéphane. Comme je me retirais il vint prendre ma place. Ayant mis un préservatif il pénétra la chatte de Marie. Elle fit un Ho ! De surprise car son mandrin était énorme.
    
    Nettoie ma bite salope ! dis-je en lui mettant celle-ci devant son visage.
    
    Marie était aux anges, elle sentait enfin la grosse bite de Stéphane envahir sa grotte. Heureusement en la fistant je l’avais préparée à cette épreuve et il pénétra sans difficulté jusqu’au fond de sa chatte trempée. Elle ne devint vite plus qu’un sexe. Tout son corps était concentré sur les sensations que ...
    ... lui donnait cet envahisseur. Elle sentait de nouveau les prémisses d’un nouvel orgasme. Ce plaisir, elle me le devait, elle le savait. Elle mit beaucoup de soins à nettoyer ma bite pendant que Stéphane la baisait lentement mais profondément. Quand celle-ci recommença à prendre forme, elle commença à la pomper avidement. Elle voulait jouir mais aussi sentir la jouissance.
    
    Stéphane fut le premier à jouir suivi de près par Marie qui atteignit un niveau jamais atteint en criant sa jouissance. Cela déclencha le mien et je partis en longs jets sur son palais qu’elle avala avec plaisir.
    
    Nous étions tous les trois en nage et nos corps repus aussi nous retournâmes au salon boire une coupe réparatrice.
    
    Tous les trois nus nous trinquâmes à notre prochaine rencontre car il était très tard et nous voulions rentrer.
    
    Sur la route, Marie me remercia pour tout le plaisir que je venais de lui offrir.
    
    Jamais elle ne s’était sentie aussi comblée. Elle pensait à toutes ces années où elle était restée sage. Quelle gourde ! Elle était maintenant décidée à profiter de la vie. Elle venait de découvrir la pluralité grâce à moi son maître et était prête maintenant à suivre toutes les idées perverses que j’aurais. 
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