1. Le journal d'une veuve (6 et fin)


    Datte: 27/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... le visage. Maintenant, le rasé me doigtait carrément en me titillant le clito avec sa langue et je fus surprise par un orgasme fulgurant. Mon cri se mélangea avec celui d'une rousse possédée dans la piscine par un grand black aux muscles saillants. Bref, j'étais mûre pour l'étape suivante. Je revêtis mon peignoir et accompagnai mon cavalier dans les méandres du sauna.
    
    *******
    
    Je réalisai alors que je m'étais laissée aller à un acte authentiquement sexuel avec un parfait inconnu. Je n'en étais même pas surprise, comme si cela allait de soi et comme si ce lieu avait communiqué à mon psychisme le besoin de sexe. Je savais que j'allais baiser avec ce type et cela me semblait parfaitement naturel alors qu'une heure plus tôt, j'aurais trouvé ça invraisemblable. Plusieurs chambrettes s'offraient à nous, toutes occupées par des couples en pleine action et parfois assiégées par des voyeurs. Je n'y vis pas Rita et je voulais la rejoindre. Finalement, je la trouvai dans le dernier "coin câlin" avec son barbu et un autre couple d'âge mûr qui les observait en se caressant mutuellement. A dire vrai, je ne reconnus pas immédiatement Rita. Elle était totalement masquée par son volumineux partenaire et c'est la vision du cul poilu du barbu qui m'indiqua qu'elle devait être celle qui entourait ses reins de ses jambes croisées. Le gars creusait, fouillait, forait et Rita accompagnait ses mouvements rotatoires en décollant ses fesses du matelas et en exprimant bruyamment sa ...
    ... satisfaction. J'aperçus alors, dans l'un des miroirs qui entourait la pièce, son visage tordu par le plaisir. L'homme qui m'accompagnait me murmura à l'oreille :
    
    - Alors, on y va ou pas ?
    
    Je fis glisser mon peignoir, le posai par terre et m'allongeai cuisses ouvertes à côté du couple forniquant. Rita me vit mais ne marqua aucune surprise, tout entière à son plaisir. Le rasé me lécha brièvement la fente et une fois dûment capoté, m'enfila. Je lui renvoyai aussitôt la balle avec ardeur, histoire de lui montrer qu'il n'avait pas une planche sous lui mais une affamée de sexe, comme la copine à côté. On a baisé longuement, fougueusement, dans diverses positions, notamment en levrette face au miroir où il pouvait mater et empaumer mes seins pullman. Rita n'était pas en reste et je vois encore sa croupe virevolter sur la bite du barbu sous elle. Je prenais mon pied mais j'étais aussi heureuse de voir qu'elle prenait également le sien. Nous n'étions pas venues pour rien. A l'extérieur de la pièce, les voyeurs se régalaient d'autant que le couple d'âge mûr, inspiré par notre exemple, était passé du voyeurisme à l'acte sexuel, très inspiré également par le miroir devant lequel la femme nous observait tout en se faisant prendre par derrière. Nos râles et nos gémissements se confondaient, parfois entrecoupés d'un mot cru émanant du barbu, ce qui avait pour effet d'exciter encore plus Rita, ravie de se faire traiter de salope. Moi, je n'aurais pas trop aimé mais il faut reconnaitre que dans ...