La tentation d'un quadra (9)
Datte: 27/07/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: cirrus95, Source: Xstory
... tourne la tête vers moi, rougit un peu, me semble-t-il, puis repose à nouveau la tête sur le dossier du canapé et ferme les yeux comme pour se concentrer sur la musique... mais elle ne s’est pas écartée. Au contraire, il me semble que sa cuisse s’appuie un peu plus contre la mienne, mais non, je prends mes désirs pour des réalités ! Et puis non, je ne peux pas désirer ça, ce sont des mômes !
Je finis par poser le bras sur le dossier du canapé, derrière elle donc. Ce n’est pas forcément mieux.
Elle n’est pas très grande et je la domine assez pour avoir un point de vue fort intéressant sur le décolleté de son pull et sur une bonne partie de ses seins. Ce que je ne vois pas directement, je le devine au travers de la laine fine, c’est peut-être encore plus excitant. On dirait deux crayons tentant de percer le lainage. Elle remue un peu et il me semble mieux sentir son contact. Mes terminaisons nerveuses se concentrent sur mon côté droit. Avec une pareille musique et ce contact envahissant, je plane, je rêve, j’imagine une Virginie très entreprenante et un peu perverse, un monde sans tabous et... je bande.
Je ne sais plus où me mettre, mais ça ne s’arrange pas. Virginie a ouvert les yeux, pile au mauvais moment. Là où pose son regard, la bosse de mon pantalon doit être clairement visible. Je dois être rouge jusqu’aux oreilles. D’autant qu’elle se penche vers son amie et lui chuchote à l’oreille et la voilà qui me regarde à son tour. Je voudrais disparaître dans le ...
... canapé. C’est au tour de Lucie de se pencher vers son amie. Dans cette position, le décolleté de son pull bâille et m’offre une vue imprenable sur ses seins découverts jusqu’aux mamelons.
Elle reste ainsi je ne sais pas combien de temps, beaucoup trop en tout cas. Elles s’amusent de mon désir. Je finis par me décider à me lever et à gagner la salle de bains.
Je ne suis pas plus avancé, mais au moins, j’ai pu donner un peu d’aise à ma queue qui était méchamment comprimée. J’essaie de me calmer, je bois un peu d’eau. Rien n’y fait. Il y aurait bien la solution de me masturber, mais je suis resté absent bien assez longtemps déjà.
Je reviens pour les trouver en plein conciliabule, je l’aurais parié. Je ressers du coca et m’assois dans le fauteuil qui fait face. Je bois un coup pour me donner une contenance. Heureusement, le disque se termine, elles me quittent en me faisant la bise, une bise un petit peu trop appuyée: Lucie a réussi à frôler ma queue de son ventre et Virginie s’est débrouillée pour que nos lèvres se frôlent. C’est ça, ou bien j’ai rêvé?
Gilles, fin janvier 86
Hier, j’ai croisé ma jeune voisine Virginie. Comme je lui demandais si tout allait bien pour elle, elle m’a confié qu’elle ne comprenait strictement rien à ces "horribles trucs" (je la cite) de développements limités. Puis elle m’a regardé comme si elle hésitait avant de se lancer. Après tout, je dois être très calé dans ces machins-là, peut-être pourrais-je lui expliquer ?
Je ne pouvais pas ...