1. Le monastère des Forts Niqueurs (1)


    Datte: 27/07/2020, Catégories: Gay Auteur: Bugsy, Source: Xstory

    Depuis toujours hétéro convaincu, la catégorie « GAY », ce n’est pas ma tasse de thé ! Mais je ne suis cependant pas homophobe, et poussé par la lecture sur ce site de deux histoires étrangement semblables (le couvent de la perversion et le couvent des désirs), je me suis essayé à écrire ce qui suit...
    
    Tous les deux cadets de noble famille tombant dans l’oubli, Alix de Mézidon et Victor du Durdard n’avaient plus dans la vie qu’une seule solution : consacrer leur vie à Dieu et entrer au monastère !
    
    Si ces deux jeunes hommes venant de contrées différentes ne se connaissaient pas, ils avaient cependant de nombreux points communs, le principal étant que rien ne les prédisposait à une vie de chasteté, eux qui avaient trouvé dans le plaisir des sens tout le sel de la vie, culbutant allègrement et sans distinction gentes damoiselles et jolis damoiseaux. Le hasard voulut qu’ils arrivassent pratiquement en même temps au monastère des Forts Niqueurs, et cette coïncidence rapprocha les deux novices qui découvraient ensemble les règles du monastère. Aussi perverti l’un que l’autre, ils comprirent rapidement que leurs aspirations étaient les mêmes et que si les voies du Seigneur restaient impénétrables, leurs voies personnelles étaient faites pour être comblées...
    
    Chaque frère ayant, dès son arrivée au monastère, droit à sa petite chambre individuelle, celles-ci étaient allouées dans l’ordre des arrivées, et les leurs étaient donc contiguës. Pratique pour ne pas se faire ...
    ... repérer, la nuit dans les couloirs !
    
    Car, bien sûr, ce qui devait arriver... arriva !
    
    Un soir que Victor du Durdard était allongé sur sa paillasse, les yeux à demi fermés et commençant voluptueusement à se palucher, il lui sembla dans l’ombre entendre un faible bruit. Ouvrant les yeux, il constata en effet que la clenche de sa porte tournait, que la porte était poussée et qu’elle livrait passage à Alix de Mézidon.
    
    — Ah, frère Alix de Mézidon ! Je me demandais depuis quelque temps quand vous viendriez me le mettre !
    
    — Et moi frère Victor du Durdard, il me tarde de savoir si votre dard est bien dur !
    
    Dans un même élan, ils se retrouvèrent l’un devant l’autre, aussi excités l’un que l’autre après ces quelques jours où ils n’avaient pu assouvir leur sexualité, et la robe de bure qui les couvrait encore était tendue comme par un mat, formant protubérance allant fièrement de l’avant. À travers l’étoffe, les deux vits furent vite au contact l’un de l’autre et ils purent rapidement comprendre que l’impatience et la dureté de l’un n’avaient d’égal que l’impatience et la dureté de l’autre !
    
    Aussi, les deux robes furent elles rapidement ôtées et les mains impatientes découvrirent l’obscur objet de leur désir.
    
    Le premier, Victor de Mézidon se retrouva à genoux.
    
    — Baise-moi la bouche Frère Alix, il me tarde de te recueillir en moi !
    
    Alix ne se le fit pas dire deux fois et son sexe coulissa rapidement entre les lèvres de frère Victor qui empoignant et pétrissant les ...
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