Le goût du plaisir
Datte: 27/07/2020,
Catégories:
f,
fh,
couple,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
prememois,
Auteur: La Fée Bleue, Source: Revebebe
... lui, il écartait les siennes. Elle trouva ce combat voluptueux. Mais voulant encore lui faire croire qu’elle cherchait à lui échapper, elle se retourna sous son ventre de mâle. Il sembla déconcerté, mais s’extasia sur la beauté de ce cul, blanc, rebondi. Ses lèvres se collèrent à la fente si parfaitement découpée, d’une teinte satinée. Il lécha ses fesses, descendit jusqu’à son petit trou, pendant que sa femme soupirait de bonheur. Il prit sa taille et la retourna d’un coup sec.
Elle s’ouvrit, et offrit l’épanouissement de son intimité.
— Ah, mais que tu es belle ! Je te désire plus que je ne désire ma prochaine respiration, laisse-toi prendre maintenant, je t’en supplie.
Elle sourit, pleinement consciente que c’était elle qui maîtrisait le jeu. Il enfouit sa langue au milieu d’elle, l’aspirant, la suçant, et elle, elle commençait à se tordre, à onduler.
Sa langue d’homme répondait aux assauts de cette chatte éperdue d’envie. Cassandra soupirait de plus en plus fort.
Tout son être se crispait, elle sentit une sensation merveilleuse monter le long de ses jambes, contracter chacun de ses muscles, un frisson, ses yeux brillèrent et son ventre explosa… Elle cria de bonheur… ...
... Cassandra venait de jouir pour la première fois.
Son mari releva sa tête, les lèvres ruisselantes du plaisir de sa femme. Il s’allongea au-dessus d’elle, et s’enfonça en elle. Elle eut un peu mal, mais l’orgasme qu’elle ressentait encore atténua sa douleur.
La queue de l’homme fouillait le secret de son épouse qui pétrissait ses fesses de ses deux mains.
C’était bon de le toucher ainsi, sans retenue, sans pudeur. Son vagin l’aspirait, le retenait, l’accueillait, et des secousses voluptueuses commencèrent à suivre le rythme du va-et-vient. Monsieur Martin laissait entendre des grognements significatifs, mordait ses lèvres.
Il possédait sa femme pour la première fois, et sentait bien que ce corps était fait pour la plénitude sexuelle, ce qui leur présageait de grands moments d’extase.
Le dépucelage l’excita encore bien davantage que toutes les pénétrations qu’il s’était offertes jusque-là. Il se pressait contre ses seins, les mordillait, les tétait. Puis, le paroxysme arriva, il déchargea en elle, glorieusement, et longuement, tant l’instant avait été merveilleux.
Monsieur et Madame Martin venaient de consommer leur union, et de leurs deux avis, cela avait été un moment époustouflant.