1. Ma voisine, ma soumise (1)


    Datte: 26/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: marla4, Source: Xstory

    ... elle était ivre ou si c’était une vraie proposition. Je lui tendis tout de même le peignoir.
    
    — Aide-moi à le mettre.
    
    — Je vais nous faire du thé, installez-vous.
    
    Je sortais sans bruit une boisson aphrodisiaque qu’un ami m’avait ramenée d’Inde et j’attendais qu’elle infuse, j’espérais qu’ainsi, ma proie s’offrirait d’elle-même et proposerait de se faire soumettre.
    
    J’apportais finalement deux tasses, j’en bus un peu pour la pousser à le faire également et je la vis boire de grandes gorgées, j’étais très satisfait.
    
    Je lui posais des questions sur sa vie, auxquelles bien sûr je connaissais déjà les réponses. Elle semblait se détendre, elle s’était adossée au canapé, s’y enfonçant presque.
    
    Elle releva brusquement ses jambes et les croisa en s’étirant : j’étais sûre que le breuvage agissait...
    
    "Ca va ? dis-je, m’aventurant à lui caresser le bras.
    
    Elle frissonna, mais ne se dégagea pas bien au contraire. " Et toi, d’où tu sors comme ça ? Tu sauves les filles perdues ?" Elle éclata de rire, se cachant le visage dans ses mains et releva encore ses jambes, laissant voir son vagin moulé dans son string.
    
    J’essayais de voir si elle mouillait, mais je n’en eus pas le temps, elle semblait m’avoir vue ou senti... Je sentais en effet que j’allais bientôt bander sans pouvoir le cacher, il fallait agir.
    
    Elle s’était tournée vers moi, je commençais à caresser ses cuisses en m’avançant également vers elle.
    
    Le peignoir laissait voir la naissance de ses seins, je ...
    ... le fis descendre délicatement sur ses épaules et l’ouvris pour mordre ses tétons qui pointaient déjà.
    
    Elle n’avait opposé aucune résistance, je glissais une main sous la ceinture du peignoir pour chercher son ventre, son string, la seule barrière qui me restait tout en l’embrassant finalement. Elle avait même passé ses bras autour de mon cou, je sentais son parfum, son haleine...
    
    Mais j’avais également envie de jouer un peu, je me dégageais à regret de son emprise et la regardant droit dans les yeux, lui dit :"Je sais que tu rêves de te faire soumettre : laisse t’attacher et te baiser comme la chienne que tu es."
    
    Elle s’était comme raidie, mais j’avais également vu passer un éclair de désir dans ses yeux.
    
    — Comment tu le sais, tu m’espionnais ?
    
    Je décidais de lui montrer qui était le maître, comme dans ses fantasmes : je lui attrapais les cheveux à l’arrière de la tête et la tirais en arrière. Elle gémit et je me rapprochais dangereusement pour la faire passer sur mes genoux, dos à moi.
    
    Je glissais cette fois ma main directement entre ses cuisses, je l’entendis gémir et elle tenta de fermer ses cuisses, mais je tirais alors encore une fois ses cheveux et lui murmurais d’obéir à son maître et d’être une bonne soumise.
    
    — Tu es à moi, tu es ma chose, je vais t’attacher et te baiser et tu vas adorer ça, dis-le... je la sentais mouiller, car j’avais passé un doigt sous le tissu fin et satiné.
    
    J’enfonçais et tournais mon doigt en elle, en ajoutais un autre et ...