-
Nini
Datte: 26/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Anal Auteur: feuillevierge, Source: xHamster
Mes potes m’ont surnommé Nini. Je vis à la rue depuis deux ans, depuis mes 16 ans. L’école ne m’a jamais intéressée et je me prenais la gueule sans arrêt avec ma mère et son nouveau mâle. Je traîne avec des jeunes qui font la route avec leurs chiens en allant de ville en ville. Ils boivent, sont violents et crasseux mais ça me va bien, moi aussi je suis une teigne. J’aime les rapports violents même si parfois j’en sors un peu cassée. Quand j’en ai marre je change de mec, souvent pour pire. On vit de mendicité, de rapide et moi parfois quand j’ai besoin de tunes je fais la pute. C’est dingue le nombre de mecs normaux qui aiment baiser une marginale comme moi dans leur bagnole avant de rentrer dîner avec maman et les gosses. Pour aller plus vite je ne porte jamais de culotte sous ma longue jupe et me fait prendre par le cul pour limiter les risques. Je ne me lave pas tous les jours. Ce matin, j’ai fait une connerie. J’ai volé une belle montre dans un grand magasin. Un grand vigile black m’a coincé à la sortie et m’a évacuée en me tordant un bras dans le dos vers le bureau de la sécurité. Un de ses collèges m’a boqué les bras dans le dos pendant qu’il me fouillait. Il a trouvé la montre dans ma poche, l’a posée sur une table puis m’a dit on va voir si t’as rien d’autre. Il m’a alors tâtée partout avec ses gants en latex. Il m’a même mis deux doigts dans le sexe et un dans le cul en se marrant. Comme j’ai voulu lui cracher à la gueule son collègue m’a tiré ta tête en arrière ...
... par les cheveux. Le premier m’a alors pris les deux seins à pleine main puis en me disant « on veut pas te revoir ici » il les a tordus très forts. Ça m’a fait un mal de chien et je suis mise à pleurer. Il rajouta « faut que tu comprennes bien » en me pinçant les tétons et en les vrillant encore plus fort. J’ai failli tomber dans les pommes, mais ça m’a excitée très fort. Comme la montre était chère ils m’ont remis à la police qui m’a fait sortir dans la rue complètement débraillée et menottée dans le dos. Au central de police j’ai été de nouveau fouillée mais par une femme en uniforme, une grande sèche avec une gueule de sorcière, qui m’a fait mettre à poil les jambes écartées, mes mains écartant mes fesses en me disant pousse pendant qu’elle touchait mon anus et mes petites lèvres. Satisfaite elle me dit « ça va être ta fête » et elle me jeta dans une cellule grillagée avec mon tee-shirt et ma jupe en vrac au sol. Je me suis rhabillée sous le regard pointu des trois clochards qui partageaient le lieu. Le plus grand des trois s’approcha et me dis « salut chérie, on t’attendait pour jouer ». Je me blottis dans un coin et les heures passèrent. J’eu envie de pisser et je tentais d’appeler mais personne ne vint. J’ai crié plus fort « veux pisser » mais seul un des clochards répondit « vas-y la belle, on va kifer ». J’ai attendu longtemps. Ma vessie me brûlait, je ne tenais plus. J’ai fini par pisser debout, en soulevant ma jupe, en me rapprochant des trois hommes et en les ...