Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 4
Datte: 25/07/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Itacoatiara, Source: Hds
... devras te mettre un des godes de mon cousin et tu ne dis rien parce que l'autre fois, tu m'as bien eu, je n’étais pas d'accord pour ton doigt inquisiteur".
Ça devenait compliqué pour tous les deux, je n'avais pas prévu d'aller si loin. J'avais connu une expérience assez poussée avec un ami de classe quand j'avais 15 ans, mais j'avais mis ça dans un coin de ma tête, dans la rubrique "c'était pas mal, mais pas ma préférence"...
Bref, j'accepte, prévoyant d'être sournois tout en étant surpris de la tournure de nos discussions.
Elle roule, je propose de passer par le raccourci utilisé par "beau papa", elle tient le cap. Je décide alors de poser ma main sur sa cuisse
Elle :"arrête, tu triches".
Moi, "ah bon, y a des règles?". Ma main remonte, je sens la chaleur de son sexe.
Un tournant à angle droit, elle doit redémarrer depuis le point mort.
Au moment de passer la vitesse, je lui mort l'oreille. Elle cale! "Bon, alors, la culotte? Et c'est moi qui l'enlève!", elle faussement furieuse, "bon, vas y!"
Elle remonte son corps et me laisse descendre sa culotte que je garde dans ma poche.
Elle repart, passe la seconde, ma main caresse maintenant son clitoris, elle est trempée et du mal à se concentrer, le chemin devient compliqué, je lui conseille de rétrograder. Elle cale à nouveau.
Moi:"bon, et bien je crois que je vais bien m'amuser"
Elle "c'était la dernière fois!"
Redémarrage, je ne fais plus semblant, ma main fouille son sexe, je la branle ...
... frénétiquement, mon autre main a fait sauter l'attache de son soutien gorge, puis a pris possession de son téton droit. Pas pratique, mais visiblement efficace.
Je l'entends gémir et se mordre la lèvre, elle me regarde puis dit "on s'arrête!", de toute façon, on roulait à 5km/h en faisant n'importe quoi.
Moi, "Non, on n’est pas arrivé et j'ai encore des gages possibles! "
Elle" on verra plus tard!"
Elle s'arrête au milieu du chemin, les phares allumés et me dit "vient, je veux que tu me prennes sur le capot, j'en ai toujours rêvé".
On se précipite, elle s'allonge sur le capot après que j'y ai mis ma veste pour lui éviter des brûlures sur le capot.
Les jambes écartées, les yeux dilatés. Je baisse mon froc d'un coup et la pénètre sans ménagements. Elle entoure mon torse de ses jambes et me serre fort. Je l'embrasse et l'aide à enlever son top. Elle n'a plus que sa petite jupe.
JE malaxe et lèche ses seins. Elle me demande de la baiser plus fort.Je me recule, "prend de l'élan" pour la pénétrer encore plus loin, elle crie comme un animal blessé, j'ai peur du lui avoir fait mal, elle m'ordonne de continuer.
Je la pilonne de plus en plus fort, puis par peur de jouir avant qu'elle m'ait donner l'autorisation, je ralentit., toujours des allé retour, mais plus doux.
Elle se relève, m'embrasse le cou, "je préfère quand tu me baises, c'est ton rôle, là, tu me fais l'amour".
Je réponds "oui, mais euh, je veux tenir..."
"Et bien sache mon robot de sexe que là, ...