COMMENT J'Y SUIS VENU EP 8 : JE LAISSE TOMBER
Datte: 25/07/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... coup d'œil vers les trois autres, ils étaient torses nues et d'où j'étais j'avais du mal à deviner à qui étaient chacun des bras qui dépassaient un peu partout … Donc tout allait bien !
J'ouvrais et baissais le pantalon à Didier, il bandait ferme et en effet c'était pas son téléphone. Je le suçais avant qu'il n'ai le temps de me le demander. Il m'encourageait avec une caresse dans mes cheveux et donnait des petits coups de bassin.
Rapidement je prenais sa queue dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge. Il appuyait légèrement sur ma tête, il avançait le bassin, un peu comme un réflexe qu'il ne pouvait pas retenir. Il y allait doucement. Son pantalon tombait totalement sur ses chevilles. D'un mouvement des pieds il jetais ses chaussures et son pantalon plus loin et se retrouvait nu devant moi. Je me relevait lentement en couvrant son corps de baisers.
Quand mes lèvres rencontraient les siennes de nouveau il glissait ses mains sur mes fesses, juste sous mon pantalon. Ses mains passaient devant moi et mon pantalon s'ouvrait tout seul ( en tout cas moi j'ai rien fait ) il tombait sur mes pieds. Je faisais comme lui, j'étais nu et me collait à lui. Mais c'est que ses fesses aussi étaient bronzées …
On se frottait l'un contre l'autre, chacun caressait l'autre avec son propre corps. C'était doux, chaud, tendre … Le mouvement de nos corps ressemblait à ...
... une danse sensuelle . Il me glissai à l'oreille …
Lui : Tourne toi
Moi : Non
Lui : Contre moi
Moi : Non, pas comme ça
Lui : Et danse …
Je me retournais.
Moi : Et tu les as pris ou ces réplique ?
Il rigolait, à ma question, je sentais une forte pression contre mon anus et il ne rigolait plus quand je le sentais enfoncer sa queue dans mon cul. Là je respirais fort ! Je gémissais et je soupirais, c'était bon. Ma bite se relevait devant moi, je la caressais avec douceur et de nouveau je me l'imaginais enfermée dans une cage. J'imaginais la pression que je devrais ressentir sur toutes sa longueur, sur tous les côtés en même temps. Je l'imaginais poussant contre les barreaux de cette cage. Je poussais un cri au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses, il poussait de toutes ses forces.
J'avais l'impression qu'il voulait me soulever, il me plaquait contre le mur et continuait ses mouvements, il se retirait et revenait, ses mouvements étaient amples et lents. La seule envie que j'avais sur le moment, c'était de grimper au rideaux.
Je jetais encore un œil vers nos trois autres amis. Ils ne bougeaient plus. Francis était toujours coincé entre les deux autres mais il n'était pas encore violet donc il pouvait toujours respirer, moi je devais être tout rouge, j'avais le feu au visage. Ils regardaient tout les trois dans ma direction !