COLLECTION ANNE MA MUSE. Fantasme d’exhibe, la suite (2/2)
Datte: 25/07/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71, il vous rapporte le plus fidèlement possible ce que je ressens depuis mon divorce et mes envies de liberté.
Pierre un jour comprenant que j’avais envie de m’exhiber a parlé de deux endroits près de Dijon.
Dijon car nous habitons Besançon et comme j’ai un emploi ayant des contacts avec de nombreuses personnes les risques seraient trop grands d’être reconnu.
Je ne parlerais pas de la première fois, HDS et Chris71 ont déjà fait paraître mon histoire, mais de cette deuxième fois dont Pierre avait parlé.
Guêpière et chatte dénudées, il vient d’arrêter sa voiture sur une sorte de terrain vague juste à côté d’un chantier dans ce qui sera un nouveau quartier de la ville.
En attendant, il allume le plafonnier me livrant aux regards d’une sorte de faune tournant autour de nous.
Entendant du bruit sur la vitre passagère, je vois un type qui se masturbe la frottant tout le long de ma fenêtre.
- Anne, n’aie aucune peur, les fermetures de sécurité sont en place.
Sauf si tu souhaites sortir pour voir ces sexes de plus près aucun d’eux ne peut t’atteindre.
Caresse-toi, ça va les exciter.
L’un d’eux tape sur le toit de la voiture me faisant hurler de peur.
- Ah !
- N’ai aucune peur Anne, je te dis que tu ne crains rien, caresse-toi les seins.
Oui, lentement, profite de ce que je t’offre.
Tu voulais apparaître aux hommes pour qu’ils admirent tes seins magnifiques.
Ce sont eux qui m’ont fasciné ...
... le jour de notre rencontre et aujourd’hui je les expose à tous ces voyeurs.
Malgré vitres et portes fermées, j’entends le type parler.
- Monsieur, c’est gentil de nous amener ta salope, ouvre la porte, on va lui donner le plaisir qu’elle est venue chercher.
Je prends peur.
- Pierre tu ne vas pas ouvrir, j’ai peur.
- Anne, peur et plaisir de se montrer sont étroitement liés.
Ces hommes veulent se vider les couilles et toi tu veux qu’ils voient quelle salope tu es.
Acceptes-tu que j’ouvre un peu la fenêtre ?
- Elle est belle, c’est ta femme.
Pierre appuie sur l’ouverture de la fenêtre de mon côté de cinq centimètres.
Dans la fraction de seconde, deux bites passent leur tête me regardant fixement.
- Reculez, sinon je ferme la vitre et je vous coince la verge, la pression risque de vous castrer, je vous dis, c’est madame qui est maîtresse de notre jeu.
Les deux bites se retirent, l’un des voyeurs me fait voir son visage.
- Madame, demandez à votre mari de descendre la vitre, je voudrais vous caresser la chatte.
- Et moi vos seins, ils sont plus beaux que ceux de ma mère, les siens se cassent la figure on dirait deux queues de castor.
Je regarde Pierre, je prends conscience que c’est sciemment que je vais franchir un cap.
Je passe mes doigts sur mes lèvres, les intimes, je touche mon clito qui réagit tellement les regards des voyeurs l’ont excité.
Je suis mouillée comme rarement je l’ai été dans les jours précédents surtout depuis ...