1. Les malheurs de Clotilde Ch. 02


    Datte: 25/07/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... nuit, qu'on l'enlève. La lumière m'aveugle, puis je m'y habitue. Je regarde les trois hommes, puis je m'évanouis.
    
    C'est une bouteille d'eau que l'on vide sur moi qui me réveille. J'ai le visage et les cheveux trempés. Je ne connais pas l'homme qui fais ça. Il est gros, environs cinquante ans, un visage de tueur. Pas laid, non, presque joli même, mais il fait peur par la violence latente que l'on peut y lire. Par contre je reconnais immédiatement les deux autres. Je me mets à pleurer comme une folle. C'est Greg et Meyer. Ils ont participé à ça. Greg enlève l'appareil qu'il a autour du cou, et que les deux autres ont également.
    
    - Greg, pourquoi?
    
    Je hurle, un coup de pieds dans les côtes vient de m'atteindre, c'est Greg qui me l'a donné.
    
    - Ta gueule, tu ne parles que quand je t'y autorise. Sinon la prochaine fois, c'est deux coups, trois la fois d'après et ainsi de suite. Compris?
    
    - Oui...
    
    - Je t'expliquerais tout le moment voulut. Maintenant debout, on va à ma voiture, elle est garée devant. Une demande particulière autre que des explications?
    
    - Je peux... m'habiller?
    
    J'ai entendu leurs conversations, mais je tente quand même le coup, il m'y a autorisé. Je panique à cette pensée, un seul coup de pied à suffit à me faire rentrer le fait de ne parler que sur son ordre.
    
    - Non.
    
    - Mais on va me voir nue...
    
    - Oui, sûrement. En plus tu devrad être gentille avec Meyer et Jérôme. Ils pourront te peloter et toi, tu ne bougeras pas.
    
    Je connais enfin ...
    ... le nom du troisième hommes. Je ne sais pas pourquoi je suis contente de pouvoir mettre un prénom sur mon troisième violeur buccal. Après tout on est intime maintenant... Et sûrement, bientôt ce sera mon violeur tout court...
    
    Je suis toujours à genoux, les mains menottées dans le dos, pleurant silencieusement. Greg me fait ouvrir la bouche. Il y enfonce un bâillon boule. Je ne peux plus parler. Rapidement je me mets à baver, ça coule aux commissures douloureuses de mes lèvres. Je gémis de douleur quand ce monstre que je croyais mon ami me saisis par les cheveux, et me fait me relever. Il me passe un collier de chien, avec sa laisse, autour du cou. Mon dieu que c'est humiliant, heureusement je ne dois pas marcher à quatre pattes!
    
    Je suis soulagée quand je sors de chez moi. Greg est venu en van. Il ouvre la porte latérale. Je monte à l'arrière avec Meyer et Jérôme. Greg conduira. Durant tout le trajet jusque à chez lui, les deux salopards n'ont fait que me toucher les seins et les fesses. Comme si j'étais un vulgaire morceau de viande. Ce qui après tout je suis pour eux. De la viande à baiser...
    
    Quand ils me font descendre, alors que je pleure toujours, et que je bave de plus en plus, Greg me prend par l'épaule.
    
    - Au fait, ce n'est pas ma résidence principale. Tu la verra bien assez tôt. En attendant, cela ira pour ce que l'on aura à faire tous ensemble.
    
    Je ne comprends pas ce qu'il veut dire, mais je sais au fond de moi que rapidement je le saurais. Greg ouvre la ...
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