1. Les malheurs de Clotilde Ch. 02


    Datte: 25/07/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... langue, faire doucement aller-et-venir la tête le long du zizi. ». Voilà, j'y suis, je suce la bite du mâle. Il gémit, il doit aimer. C'est officiel, je suis une pute, sa pute. Quoique putain, je le suis depuis vendredi soir. Enfin je dis putain, mais ce serais plutôt salope, aucun homme n'a payé. Si cela avait été le cas, je pense qu'il aurait filmé, pour m'humilier et me détruire encore plus!
    
    Ce monstre appuie un peu sur ma tête, s'enfonçant à chaque fois un peu plus loin dans ma bouche. Quand son gland cogne contre ma luette, je manque gerber, je ne sais pas par quel miracle je me retiens. Il la cogne de plus en plus souvent. Je finis par m'habituer. Il doit s'en rendre compte, je ne fais plus ces horribles bruits de gorges, comme si j'allais vomir.
    
    Tandis que je suce mon maître-chanteur les deux autres continuent de me torturer les seins. D'un coup, je hurle à travers la bite. Il vient de violer ma gorge, me faisant lui faire une gorge profonde. C'est douloureux, je n'arrive pas à respirer. J'étouffe, c'est horrible. Puis ça revient, je respire de nouveau avec sa bite dans ma gorge, même si j'ai beaucoup de mal. Mes yeux pleurent, je ne le vois pas mais mon visage deviens rouge. J'ai la gorge ultra-sensible, les mâchoires douloureuses, je sens que mes lèvres gonflent à force d'être frappées par son ventre. Heureusement, sa bite est propre, c'est déjà ça.
    
    Il baise maintenant ma bouche comme si c'était un sexe. A chaque fois son ventre heurte violemment mon visage, ...
    ... ses couilles tapent contre mon menton. J'ai mal, c'est horrible. Puis il se met à gémir, allant de plus en plus vite. Jusque à ce qu'il se fiche complètement en moi. Jouissant dans ma gorge, mon œsophage. Je n'avale pas vraiment, sa semence ce déverse directement dans mon estomac. C'est monstrueux, ça brûle. Un peu de sperme coule sur ma langue quand il se retire. C'est pâteux, visqueux, d'un goût dégueulasse.
    
    Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits. A peine Mon maître-chanteur se retire de ma bouche, que déjà un de ses acolyte s'enfonce dedans. Il est plus court et un peu moins épais, mais cela ne change pas grand chose à mon enfer. Lui ne fait pas de chichis, il me viole directement la gorge, avant que j'ai put refermer mes lèvres sur son pénis. Comme pour mon premier violeur buccal, je décide de faire de mon mieux. Plus vite ils se videront dans ma bouche, plus vite ils partiront. Bien entendu, ma naïveté parle à ce moment, me faisant croire à leurs probable départs...
    
    Mes lèvres de velours se referment sur son pénis. Ma langue bouge toutes seule dans ma bouche, comme si elle est pourvu d'une conscience propre. Lui me fait mal, il y va fort. Je hurle de douleur. Mais mes hurlements son absorbé par le bâillon de chair. Lui c'est un vicieux, il ne se retire pas de ma gorge. Quand il remonte sa hampe, le gland reste plongé. Je n'arrive plus à respirer, je panique. Mes yeux s'agrandissent, je vois des éclairs. J'ai l'impression que je vais m'évanouir.
    
    D'un coup ...
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