1. Les malheurs de Clotilde Ch. 02


    Datte: 25/07/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... pénis. Je suis une pute, je ne me fais pas violer par Meyer, c'est moi qui le baise. Psychologiquement c'est dur à vivre, cette impression de collaborer me donne envie de gerber, au moins autant que ce pénis dégoûtant dans mon corps.
    
    - Plus vite!
    
    J'obéis, accélérant mes mouvements, cela a l'air de le satisfaire, il grogne de plaisir. En rajoutant à mon humiliation. Même si ce n'est pas aussi violent qu'avec les deux autres, mon vagin me brûle. Même si je ne hurle pas de douleur, je grogne tant je souffre.
    
    - Allez, accélère encore salope!
    
    Salope, le mot me fait mal. C'est ce que j'ai l'impression d'être avec ces monstres. Mais néanmoins j'obéis. Tout d'un coup, il serre plus fort ses mains sur mes hanches. Y enfonçant ses doigts. Il se met à me bourrer de puissants coups de reins, manquant me déséquilibrer de surprise. J'arrête aussitôt mes mouvements pour le laisser faire.
    
    Je lâche un petit cri de douleur, il vient de me fesser.
    
    - Continue de bouger!
    
    J'obéis. Accompagnant du mieux que je peux ses mouvements, me synchronisant sur lui. Rapidement il se met à grogner, avant de se planter complètement en moi. Quand il grogne, je comprend que à son tour, il se vide en moi. Me remplissant encore plus mon utérus. Quand il se retire, je m'écroule sur le sol. Je me mets en chien de fusil, genoux contre ma poitrine. Je sens le flot de sperme s'écouler de moi. J'essaie de récupérer. Il vont sûrement me laisser tranquille pour l'instant, chacun à jouit deux fois. En ...
    ... moi, sur moi... Mais déjà Greg m'ordonne de me remettre à genoux.
    
    En gorgeant de douleur, tant ma chatte que je sens grande ouverte me fait mal, je lui obéit. Il me menotte de nouveau les poignets dans dos, me faisant pousser un énième petit cri de douleur, quand il serre les bracelets. Je hurle quand en me tirant par les cheveux, il me fait glisser jusque au milieu du salon. Les trois m'entourent. Leurs pénis souillés de sperme et de mon sang restent mou. Greg ma caresse les cheveux.
    
    - Tu va nous nettoyer.
    
    - J'ai les mains attachées...
    
    - Avec ta bouche idiote!
    
    Greg contre son pénis mou contre mon visage, j'ouvre la bouche et l'avale. Je me mets à le sucer, me servant de ma langue, y mettant le maximum de salive. Alors que je les croyais complètement vidés, je sens le sexe de Greg reprendre de la dureté. Sa voix résonne alors.
    
    - Au fait, on a tous pris des pilules « sexe-dur », donc ne t'attends pas à être tranquille rapidement. On a du stock, donc on va te baiser longtemps.
    
    Sans cesser ma fellation, je me remets à pleurer à la phrase de Greg, qui frappe mon cerveau, révulsé d'épouvante, comme un uppercut... Ma nuit va être encore plus terrible que ce qu'elle n'est déjà, que ce à quoi je m'attendais...
    
    Quand il est de nouveau dur, Greg viole de nouveau ma gorge. C'est horrible comme ça brûle. De nouveau je pousse des cris de douleurs étouffés par son bâillon de chair. Il dure longtemps cette fois, j'ai la gorge sèche, pourtant je bave comme une malade ...