1. La première année en faculté de médecine du Mâle dominant. 2


    Datte: 25/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    La première année en faculté de médecine du Mâle dominant. 2
    
    Si vous êtes un(e) fan de mes histoires, Lucie vous a parlé d’un jeune étalon découvert chez Monsieur Paul et qu’elle l’avait retrouvé quelques années plus tard quand elle avait changé de gynéco.
    
    Relire « beau-papa fait mon éducation sexuelle et le jeune mâle dominant ».
    
    Cette histoire va conter sa première année en faculté de médecine.
    
    -Ça ne va pas recommencer ! Je ne veux pas encore me mettre à dos tous les garçons de la faculté et devenir le point de mire de toutes les filles !
    
    Qu’est-ce qu’il raconte ? Il se prend pour qui ? Nous nous regardons et décidons de l’entreprendre car malgré ses dires, il ne bouge pas d’un poil et sort une phrase en latin.
    
    -Aléa jacta est ! Mais à vos risques et périls.
    
    Suite.
    
    Martine prend les mains de Claude et en glisse une sous son corsage et l’autre sous sa jupe pendant que Sandrine et moi nous chargeons de lui retirer son tee-shirt. Sa poitrine est aussi malingre que son visage est quelconque avec ces quelques poils qui se battent en duel. Nous nous attelons à son pantalon, débouclant sa ceinture et déboutonnant sa braguette.
    
    Elisa et Evelyne viennent nous aider pour baisser son falzar et son slip noir déformé par une belle bosse sur le devant. Il respire un peu plus fort quand nous découvrons enfin son sexe.
    
    Je suis un peu déçue car la verge qui pend entre ses cuisses a pratiquement la même taille que celle d’Akim. Vu son physique, c’est déjà ...
    ... exceptionnel mais je vais perdre mon pari.
    
    Martine a retiré son haut et lui fait téter sa magnifique poitrine. Il a relevé sa jupe et glissé une main entre ses cuisses, écartant la petite culotte de dentelle pour malaxer une chatte toute lisse.
    
    Martine mouille comme une folle quand il la doigte pendant qu’Elisa arrive à lui voler un baiser.
    
    Je sens quelque chose déjà bien dur bloqué sous ma poitrine, quand je baisse les yeux je n’en reviens pas. Sa bite a pris du volume et de la rigidité. Je me recule un peu et sa verge jaillit à quelques centimètres de mon visage.
    
    -Bon sang quelle queue ! S’exclame, ébahie, Elisa.
    
    -Ça c’est de la teub ! Surenchérit Evelyne
    
    -Un vrai bout de bois ! Souligne Sandrine qui s’est saisit du braquemard. Mais je défends mon bien.
    
    -Eh les filles ! C’est moi qui l’ai choisi… Pas touche…
    
    Un silence de mort s’est établi du coté des garçons.
    
    J’ai maintenant une belle verge bien droite et bien tendue. Je la branle un peu et je me penche pour lui faire une bonne pipe, posant délicatement un baiser sur le museau mafflu avant de me la fourrer dans la bouche et de la sucer avec enthousiasme. Sa queue sent bon. Ma bouche peut à peine contenir son gland et à mon grand étonnement je sens sa verge encore grossir dans ma bouche.
    
    Il donne un léger coup de reins pour s'enfoncer dans ma gorge mais je prends à deux mains sa hampe pour expulser ce monstre de ma bouche avant qu’il ne me fasse vomir.
    
    -Ce n’est pas vrai ! Elle a encore grossie… ...
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