1. Le Mauvais Chemin 05


    Datte: 23/07/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... trous, sur son visage.
    
    Cela lui donnait un air de pouffiasse sous la pluie.
    
    Sa chatte et son cul étaient pris d’assaut par des mains. On ne saurait dire combien de doigts la fouillait, l’explorait.
    
    Elle se tortillait au bout de ses bracelets de câble. Elle essayait de s’écarter, d’échapper à chaque main qui la touchait.
    
    Elle ressemblait à une carcasse de viande, suspendue à un crochet dans un abattoir ou dans une boucherie. Un tas de viande qui allait être dévoré, mangé par des sauvages.
    
    Mais à force de se débattre, ses poignets commençaient à se violacer. Des types lui suçaient les seins, tiraient sur les tétons avec les dents. Elle avait des rictus, des grimaces, des contorsions de douleur, mais ça n’arrêtait en rien la façon de faire de ces hommes. Bien au contraire même. Tant lui faire mal, était aussi important pour eux, que profiter de son corps.
    
    De fortes claques tombaient sur ses fesses, les faisant rebondir, rougir. Mais aussi sur son ventre, sur ses hanches, sur ses cuisses.
    
    Un jeune black s’était mis à genoux. Il avait retiré violemment les doigts qui obstruaient son vagin, il avait essayé de la prendre debout...
    
    Mais il s’était fait bousculer, il était tombé en arrière.
    
    Déjà des index, des doigts tiraient son vagin de chaque coté, ouvrant grand son trou, le rendant béant, libre de toute occupation.
    
    Un petit beur était arrivé avec une pelle à la main. Il avait placé le bout du manche devant l’orifice, il avait redressé la ...
    ... pelle.
    
    Pour ne pas se faire pénétrer par l’outil, Nathalie s’était dressée sur la pointe de ses pieds. Il faut dire qu’elle n’avait plus ses escarpins depuis longtemps. Mais paradoxe et bizarreries, ils lui avaient encore laissé le reste de sa jupe tire-bouchonnée sur son ventre.
    
    Une phrase avait été dite en arabe, tout les hommes s’étaient écartés.
    
    Elle se mordait les lèvres pour ne pas crier. Le spectacle qu’elle offrait était pitoyable. Ses mains enserrées, étaient violettes, elle devait serrer si fort les poings que ses ongles avaient pénétré la chair tuméfiée.
    
    Son doux visage était tordu par la douleur, la peur. La peur de laisser son corps retomber. La peur que ses jambes la lâchent. Ses jambes qui commençaient à trembler, de plus en plus. Ses pieds allaient rapidement être pris de crampes. Le manche la pénétrait peu à peu.
    
    Dans cette position, comme elle était debout, des gros paquets de trop pleins de tous les spermes mélangés, coulait de ses orifices.
    
    La semence qui sortait de son vagin coulait, dégoulinant sur le manche de la pelle.
    
    Le sperme qui sortait de son anus, lui, coulait sur ses cuisses.
    
    Cela faisait énormément rire l’assistance, ils se moquaient beaucoup d’elle.
    
    Ses pieds avaient finis par retoucher le sol. Elle était à présent profondément fourrée avec un manche de pelle. Les hommes étaient revenus sur elle, ils ne cachaient pas leur joie de la voir ainsi pénétrée.
    
    Un très jeune arabe, très laid, marqué par une acné mal soignée, était ...
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