1. Une famille en Or (12)


    Datte: 13/04/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Humour Inceste / Tabou Auteur: HannaPurna, Source: xHamster

    ... m’assurant que je pouvais compter sur sa discrétion.
    
    — Tu parles, une occasion de voir une nana à poil, il allait pas te dénoncer!
    
    — Donc, j’ai enlevé le string, et il était cramoisi en découvrant mon petit rectangle de poils qui ne cache rien du tout!
    
    — Je vois sa tête d’ici!
    
    — Je lui ai proposé de m’imiter, mais il a refusé, disant qu’il ne se sentait pas encore prêt pour ça. Mais en fait, je voyais bien que c’était surtout à cause de la bosse qui déformait le devant de son caleçon de bain! Je suis certaine qu’il s’est branlé sur mon compte le soir dans son lit.
    
    — Ben évidemment, tu t’attendais à quoi? Et même, je parie qu’il l’a même fait avant.
    
    — Peut-être bien, car il s’est absenté un moment. Jeudi, je lui ai fait carrément remarquer que son caleçon faisait une bosse suspecte. Tu parles, il était en grande érection. Il s’est excusé et s’est rafraîchi les idées dans la piscine. Vendredi, comme ça allait mieux, j’ai poussé un peu plus mes exhibitions. Je m’amuse pas mal.
    
    — Tu vas quand, plus loin?
    
    — Eh, tu déconnes, je cherche juste à m’amuser un peu, avec lui!
    
    Vendredi 5 juillet 1991
    
    Aujourd’hui, Ju vient de faire un nouvelle surprise à Sophie, la commerciale des surgelés, et à Marilyn par la même occasion. Il savait qu’elle avait changé sa tournée du lundi après-midi pour le vendredi matin, mais il n’a pas prévenu Marilyn. Comme elle a pris l’habitude maintenant de faire le ménage sans le haut du maillot, Ber a entendu vers 10 heures par la ...
    ... porte entr’ouverte du bureau l’exclamation de Marilyn lorsque Sophie est tombée sur elle en brésilien dans l’entrée. Marilyn s’est justifiée de sa tenue légère:
    
    — Oh pardon, je ne savais pas que quelqu’un allait entrer, ce sont nos heures de fermeture. Et comme il fait chaud, j’ai l’habitude de me mettre à l’aise…
    
    — Ce n’est rien, vous avez raison, il fait chaud. Le directeur est là?
    
    — Oui, il est au bureau. Venez, je vous accompagne.
    
    Ju a refermé sa porte et s’est installé derrière son bureau pour faire mine d’étudier des dossiers. Marilyn a monté les escaliers, ses fesses en brésilien se balançant au niveau des yeux de la femme, et a ouvert la porte en se mettant dans le passage:
    
    — Ju, il y a quelqu’un qui te demande!
    
    Et elle a fait entrer Sophie qui s’est retrouvée un peu gênée de devoir frôler les seins de Marilyn pour se retrouver face à Ju torse nu a son travail. Tandis que Marilyn s’éclipsait en faisant à Ju un clin d’œil, il lui a proposé de s’assoir, et ils ont commencé à faire le point des quantités commandées. Comme le classeur en question était dans le placard en face, il l’a mise en garde:
    
    — Mais attention, je vais devoir me lever. Et comme je ne me rappelais plus que ça avais changé et que tu venais le vendredi, je m’étais mis vraiment à l’aise…
    
    Et c’est là, quand il s’est mis debout, qu’elle a réalisé qu’il n’avait même pas son string. Elle est restée muette devant son engin heureusement au repos. Pour éviter que cela s’éternise, il l’a ...