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Astrid et Julia (8)
Datte: 22/07/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... transpercent ses tétons. Marc doit souvent lui appliquer ce traitement car elle approuve par des enchaînements de « Oui continue ! J’aime ». Je n’ai pas l’intention de finir avec elles. Aujourd’hui la reine de la fête c’est Astrid. Elle est maintenant sur Julien qui la prend par la chatte et Marc lui explose la rondelle. Sa tête, ravagée par les larmes, ballotte dans tous les sens. Julien lui mordille un sein, pendant qu’il compresse fortement l’autre. Je lui relève la tête et enfourne ma bite ; couverte des sécrétions vaginales et anales de Sophie et Chloé ; jusqu’au fond de sa gorge. Elle éructe mais s’adapte à mon nœud qui envahit sa glotte. Sans qu’aucun d’entre nous ne se soit concerté nous éjaculons ensemble dans son cul, son con et sa bouche. On la dépose sur le canapé, épuisée. C’est sans compter sur l’appétit sexuel des compagnes de mes amis que j’ai laissées en plan au bord de l’orgasme. Elles se jettent sur elle, Chloé en position de soixante-neuf bouffe la chatte engluée d’Astrid qui, en retour lui lèche la foufoune. Sophie se rabat sur Chloé et fait entrer le rosebud dans son troufignon. Voyant ce spectacle Marc lui écarte les fesses et la sodomise sans aucune précaution. Quelques allers-et-retours et c’est dans sa bouche qu’il vient planter son sexe et inonder sa cavité buccale. La soirée a débuté sur les chapeaux de roues. Il est temps de se reposer un peu. J’en profite pour interroger Astrid et ainsi connaître ses impressions : — Alors que ...
... penses-tu de ma surprise ? Ça t’a plu ? — Ce fut dur. Vous m’avez fait souffrir mais j’ai eu des moments intenses où vous m’avez fait jouir au-delà de mes espérances. J’ai découvert aussi les amours lesbiens et le goût de la chatounette d’une rousse. C’est fort mais délicieux et enivrant. Je soupçonne qu’elle ne se soit pas bien lavée exprès... — C’est très possible, la connaissant. Elle n’a que vingt-cinq ans mais d’une perversité égale à celle d’une femme de ton âge. Tu sais que tu vas avoir mal encore ? — Perverse moi ? — Oui tu es une dépravée qui se révèle de jour en jour. Je me demande comment tu as pu vivre jusque-là ? Quand je t’ai aperçu la première fois lors de votre emménagement j’ai cru que tu étais une coincée du cul. Je me suis rendu compte depuis que c’était le contraire. — C’est grâce à toi parce que tu es un vrai mâle dominant. Tu me fais faire tout ce que tu veux ; c’est fou ce que tu peux être inventif ; et j’accepte. Ça va être difficile de me retrouver seule avec mon mari lors de son retour. Tu sais que je voudrais être percée comme Sophie et même plus, avoir les lèvres de mon sexe traversées par des anneaux, pouvoir le faire rien que pour toi. Tu aimerais ? — Bien sûr mais je crains que ce ne soit possible. Difficile de cacher des piercings à ton mari. Déjà qu’avec les coups de fouet que tu as reçus et ceux que tu vas encore recevoir, il faudra attendre quelques jours pour te montrer nue devant lui. — Vous allez me fouetter ? — Bien sûr, ...