1. COLLECTION JEUNE – VIEUX. Immorale (2/2)


    Datte: 21/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Hippie, on a pu le dire.
    
    Drogués, oui aussi.
    
    Alcoolique, certainement.
    
    Mais désintoxiquée ça c’est certain.
    
    Salope surement.
    
    Quand je pense au nombre de bites que j’ai pu sucer ou m’enfiler dans ma chatte tatouée d’un « Fuck me ».
    
    Les nombreux piercings en tous genres.
    
    Certains cachés les autres enlevés quand Bob m’a ramené de San Francisco où je vivais dans le quartier de Haight-Asbury.
    
    La hippie que j’étais peut faire penser qu’en ce temps-là j’étais immorale.
    
    Pute, non, une pute se fait payer pour baiser et je me suis toujours donnée.
    
    Quoique lorsque Bob m’a proposé de revenir en France, quand j’ai accepté, je me suis vendue comme chaque femme mariée le fait à la différence que nous vivions dans le pêcher sans aucune bague au doigt.
    
    Immoral, ce nom me va bien, quand je me suis fait baiser par Franck dans ma cuisine un jour où je l’avais fait venir pour réparer une fuite d’eau.
    
    Il a réparé ma fuite ainsi que le feu que j’avais au cul.
    
    Il en a été de même avec Julien son fils mais lui par un moment de pudeur, c’est dans mon salon que je me suis donnée.
    
    Ce jeune étalon, je l’ai soufflé à Sylvie une jeune donzelle qui est fort jolie quand je l’ai reçu tout à l’heure.
    
    Pour donner le change, elle est arrivée la première et je l’ai installé dans ma chambre d’amis au premier étage de ma maison.
    
    Julien arrive une demi-heure après limitant les risques que quiconque est la mauvaise idée de passer dans ma rue à la même heure.
    
    Elle est ...
    ... arrivée par la droite, lui par la gauche.
    
    - Tu es sur Julia, après ce qui s’est passé entre nous, tu veux bien que je m’occupe de ma bien-aimé sous ton propre toit.
    
    - J’ai été la première avec toi, ça me satisfait largement, cette jolie fille aura mes restes et de fort bons restes je dois dire.
    
    - Monte à l’étage, première porte à droite, tu la trouveras pantelante d’amour pour toi.
    
    Il court comme un cabri sautant deux marches par deux marches.
    
    Je suis à deux doigts de les rejoindre, mais je respecte la première fois de la jeune fille.
    
    Tiens les filles si nous en parlions, rare ont été mes rapports avec elles.
    
    À San Francisco, une ou deux fois dans mes délires alors que je me faisais baiser, des chattes poilues sont venues au contact de mes lèvres, ma langue passant sur leur clitoris.
    
    Je bois un verre de porto blanc.
    
    Je suis désintoxiquée mais c'est la seule boisson alcoolisée que je me permets.
    
    Une cavalcade dans les escaliers m’informe que les tourtereaux ont fini de batifoler.
    
    - Merci Julia, c’était super, on pourra recommencer ?
    
    - Quand tu veux, prévenez-moi avant que je prépare la chambre.
    
    - Je file, Sylvie se repose, je l’ai explosée !
    
    Elle va descendre dans quelques minutes comme nous avons prévu que les choses se passeraient.
    
    Il file, je pose mon livre et je monte à l’étage.
    
    - Je peux entrer ?
    
    - Bien sûr tante Julia, vous êtes ici chez vous.
    
    - Arrête avec tes tantes Julia et tes vouvoiements.
    
    Nous sommes appelés ...
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