1. La veuve noire 2


    Datte: 13/04/2018, Catégories: ff, fplusag, hotel, fsoumise, fdomine, contrainte, jouet, Auteur: Nicogarner, Source: Revebebe

    Dans le premier épisode : Afin de sauver son père d’un mariage désastreux et de la ruine, Nadia tente de piéger Lucrèce – lesbienne manipulatrice et dangereuse veuve noire – en la séduisant.Dans une auberge, aux environs de Chartres, le piège est en place et la vidéo fonctionne…
    
    Nadia veut se dégager mais doit lutter plusieurs secondes pour séparer les mains qui cherchent à dégrafer sa robe. Lucrèce, lui prenant le visage entre ses mains, l’oblige à lever sa tête vers elle. Elle se baisse férocement et pose ses lèvres, chaudes et douces, sur les siennes. Sa langue agile se glisse au fond de sa bouche. Un bref instant, elle s’entortille autour de la sienne, puis se retire en y laissant un goût de fruit exquis. Nadia en reste abasourdie, les jambes tremblantes. Ce bref baiser lui a fait l’effet d’une bombe. Elle ne doit surtout pas y succomber de nouveau.
    
    En luttant, elle tombe à la renverse et s’écroule sur le lit. Volontairement. Maintenant, tous leurs gestes sont filmés. Nadia peut continuer son rôle de femme contrainte et abusée. Un vrai rôle de composition.
    
    — Stop ! Arrêtez, cela suffit !
    — Embrasse-moi, idiote ! Tu vas adorer ça !
    
    Elle se tortille sur elle, démontrant une grande souplesse. Elle est si vive et experte que Nadia a du mal à retrouver ses esprits. Étourdie, elle ne cesse de se tordre et protester, mais avec moins de conviction.
    
    Elle a suffisamment de preuves pour cesser bientôt cette mascarade. Alors que Lucrèce réussit à prendre possession ...
    ... de sa bouche, étouffant ses petits cris de rébellion, elle ondule avec une telle volupté que Nadia perd le sens de la réalité, avec l’impression d’être emportée par un tourbillon trop impétueux pour y résister.
    
    Elle ne réalise même pas que Lucrèce, tout en l’étourdissant de baisers enfiévrés, n’arrête pas de la déshabiller. Tout en se dévêtant elle-même. Une dextérité qui la laisse littéralement désorientée.
    
    Cette femme est une vraie tornade survoltée, un constat dont elle se rend vite compte quand sa patronne, se redressant brièvement, a un gracieux mouvement du buste qui fait glisser son soutien-gorge sur son épaule. Un sein lourd et épais en profite pour jaillir à l’air libre, dardant une grosse pointe insolente. Horriblement gênée, Nadia s’efforce de ne pas regarder autre chose que le visage de Lucrèce, ce qui s’avère impossible quand celle-ci les balance au-dessus d’elle.
    
    — Prends-les dans ta bouche !
    — Non !
    
    Alors, en guise de punition, Nadia se retrouve avec une langue vorace dans la bouche, explorant chaque millimètre de son palais. Haletante, elle n’est pas en mesure de se défiler, et se laisse donc faire.
    
    Première erreur.
    
    Avides l’une de l’autre, les langues se mêlent, s’enroulent, se titillent, dans une sarabande aussi effrénée qu’audacieuse. Nadia n’a même plus conscience de l’embrasser comme elle n’a jamais embrassé quiconque, aucun homme, mari inclus… Un baiser qui enflamme tout son être.
    
    Frémissante de désir, Lucrèce se coule sur elle, ...
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