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Des camarades de classe (13)
Datte: 20/07/2020, Catégories: Trash, Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
... d’un parfait inconnu, quand bien même la situation l’excitait. Philippe se contracta, incapable de résister aux va-et-vient experts de la transsexuelle. Depuis le temps qu’il était sollicité, Philippe fut soulagé de s’être enfin libéré. Il déchargea de belles giclées d’un foutre épais. Verena se rendant compte que sa partenaire était maintenant libre, elle lui demanda d’aller jusqu’à la voiture et d’apporter sa mallette. Il y avait dedans un flacon de lubrifiant qui lui serait utile pour la suite. Elle se tût pour ne pas gâcher la surprise, même si Cyrille ne devait pas entendre grand-chose avec les énormes battoirs que Didier lui plaquait sur les oreilles. Attendant le retour d’Éricka, la jeune femme tournait son poing dans le fondement du voleur de sous-vêtements. Les mouvements rotatifs compressaient la prostate de Cyrille et celui-ci se vidait sur la roche, produisant une quantité phénoménale de liquide pré-séminal qu’elle trouva dommage de gaspiller. Elle profita de l’attente pour prendre entre ses lèvres la verge toute molle de Cyrille, petite limace généreuse en sécrétion qu’elle téta avec avidité. Éricka, de retour, ouvrit la mallette et Verena s’empara du flacon de lubrifiant. Elle déversa en quantité du gel qu’elle étala sur son avant-bras. Elle reprit le travail de sape dans le cul de Cyrille. Elle ressortait le poing pour l’enfoncer aussitôt tout en accélérant la cadence. Elle profitait de chaque sortie pour verser davantage de lubrifiant et boxait ...
... littéralement la rondelle qui n’avait pas le temps de se refermer. Elle tapissait ainsi les muqueuses de gel avant de reprendre un travail de profondeur. Le bras s’enfonça de plus en plus et le coude vint flirter avec l’entrée des artistes. Tout le monde retint son souffle lorsque Verena annonça vouloir arriver jusqu’au biceps. Du moins allait-elle tenter. Cyrille sentait la main qui cherchait l’alignement parfait pour progresser. Il eut la sensation que ses intestins étaient comme un rideau suspendu à une tringle. Chaque centimètre gagné le faisait grogner de plaisir. Sa rondelle s’écarta encore un peu pour laisser passer l’articulation. Verena sentit toutefois qu’elle n’irait guère plus loin cette fois-ci. Elle se contenta de quelques rotations de son bras pour travailler le muscle anal qui en avait vu de belles, puis elle commença à se retirer d’un geste lent. Cyrille fut soulagé de constater que sa fisteuse était raisonnable ; il avait un instant cru qu’il finirait le corps fendu par le centre. Le mouvement lent et régulier de retrait lui fit penser qu’un serpent coulissait dans son ventre et la sensation était tout aussi agréable, voire plus, que celle de la progression en sens inverse. Lorsqu’il n’y eut plus que le poing à sortir, Verena le retira d’un seul coup. Puis elle l’enfourna à nouveau aussi brusquement. Elle boxa ainsi quelques minutes sans chercher à aller en profondeur. Le sphincter s’ouvrait de plus belle. La jeune femme écarta l’orifice de toutes ses forces à ...