Evolution de ma femme Odile
Datte: 20/07/2020,
Catégories:
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
Auteur: libertin75000, Source: xHamster
... et Roland ne firent aucune allusion à la scène du couloir. Pourtant, Roland n'arrêtait pas de jeter des regards charmeurs à ma femme, qui essayait de l'ignorer. Nous continuâmes la soirée au salon. Sandrine se changea et avait mis une mini jupe moulante noire très très courte. Le champagne fut ouvert. Nous rigolions à tout va, parla de tout. Roland faisait en sorte de faire pleins d'allusions sur le sujet du sexe, pour en parler, en discuter. Je voyais bien son manège. Mais il faisait attention à ne pas être lourd. Sandrine était assise devant moi dans le canapé, de part sa position enfoncée dans l'assise, je vis depuis ma chaise qu'elle n'avait même pas pris la peine de mettre une culotte. Elle était complètement rasée. Une chatte toute lisse sans un poil. Mes yeux étaient souvent attirés par cette vue, cette exhibition. Je cherchais à cacher tant bien que mal mon début d'érection. Roland, jetait des regards insistants à Odile, pour la titiller, et la séduire. Mais ma femme continuait à l'ignorer, ou du moins, faisait en sorte de ne prêter attention à ses avances. Elle ne voulait pas en rajouter avec l'épisode du couloir. De mon côté, je savais où nos hôtes voulaient en venir, sachant que Roland m'avait confié qu'ils étaient plutôt libertins au mariage. J'avais pris soin de ne pas informer ma femme des tendances de nos hôtes, pour ne pas la choquer, et la dégoûter. Si elle l'aurait su, elle aurait surement refusé l'invitation de nos hôtes.
Il commençait à se faire ...
... tard. Malgré les allusions, les discussions, et l'alcool, nos hôtes n'eurent pas réussi à atteindre leur but. Nous voulions rentrer. Nos hôtes nous proposa de dormir dans la chambre d'amis, car la route était longue, et nous avions beaucoup bu. On hésita, essayant de refuser, mais la raison fut qu'on accepta. On n'était peut être pas en état de conduire avec tout l'alcool.
Cette nuit là, dans la chambre d'amis, qui se tenait juste à côté de celle de Sandrine et Roland, allongés sur le lit, Odile et moi entendions tout ce qui se passait à côté. Les gémissements, les coups de butoir et le grincement du lit. Définitivement, nos hôtes se fichaient de notre présence, ou bien le faisaient-ils exprès pour nous titiller. Cela dura une bonne demi-heure. Nous commencions à être exciter par ces bruits. Nous parlions à voix basses:
- Tu sais chéri, je crois qu'ils sont libertins.
- Ah tu penses, je le crois aussi. faisant mine d'ignorer mes sources.
- Roland m'a dit qu'il me désirait quand il était seul avec moi dans le couloir. Il avait la gaule en me regardant.
- Sérieux? il t'as touché?
- Non, je suis parti dans la salle de bain.
- Et après? il s'est passé quoi?
- Rien de plus. Il est parti.
- Sandrine n'a pas arrêté de m'allumer aussi. Elle portait même pas de culotte sous sa jupe.
- Oh la salope, tu as kiffé hein? de voir ça?
- Un peu. C'était amusant de voir ça dans une telle situation. Je pense qu'ils auraient bien voulu nous sauter dessus ...