1. Un rendez-vous chez le dentiste


    Datte: 20/07/2020, Catégories: fplusag, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe

    ... baiser. Il s’approcha par-derrière, glissa sa queue entre les cuisses chaudes de sa partenaire, la guida vers sa vulve et la pénétra d’une seule poussée. Sa chatte était tellement trempée que la verge s’enfonça jusqu’au bout sans la moindre résistance.
    
    Puis, la maintenant fermement par les hanches, il commença à la pilonner avec l’énergie du mâle fou de désir. Son plaisir fut immense et il fut surpris de constater que cette jolie petite bourgeoise en porte-jarretelles et escarpins, qui semblait plus que jamais aimer la queue, l’excitait beaucoup plus que sa Carole. Bientôt, il sentit que le point de non-retour était atteint et qu’il n’allait pas tarder à jouir.
    
    Pascale, de son côté, était au paradis. Malgré sa position inconfortable, appuyée au plan de travail de sa cuisine, elle jouissait de sentir la bite de son bel Antoine aller et venir en elle, une bite qu’elle avait tant désirée, une bite qui lui semblait énorme tant elle avait l’impression d’être totalement remplie. Elle ne tarda pas à avoir son second orgasme et hurla son plaisir :
    
    — Oh… Ouiiiii, cria-t-elle !
    
    Ce cri de femme heureuse et comblée déclencha l’orgasme d’Antoine, une jouissance violente qui lui fit atteindre des sommets de plaisir.
    
    Ils avaient tellement joui tous deux qu’il leur fallut plusieurs minutes pour recouvrer leurs esprits. Alors, se tournant vers lui, elle lui déclara son amour :
    
    — Je n’ai jamais connu un tel bonheur… Tu baises comme un dieu mon chéri.
    — Ça t’a plu ?
    — Tu ...
    ... m’as comblée de bonheur. Je croyais que ma vie sexuelle était finie avec ce mari incapable de me faire jouir. Tu m’as fait redécouvrir des plaisirs que j’avais oubliés… Je suis la plus heureuse des femmes… Je t’aime, mon amour !
    
    Quand Antoine rentra au bureau, il n’éprouva pas le besoin d’aller se soulager aux toilettes comme les autres fois. Il se sentait partagé entre le sentiment de sérénité de l’homme qui a obtenu ce qu’il voulait de la femme qu’il convoitait et la fierté d’avoir baisé une jolie petite bourgeoise, qui plus est, la femme du patron !
    
    Il marchait le cœur léger, tout en sifflotant, dans les couloirs de l’entreprise, quand il rencontra justement monsieur N.
    
    — Bonjour Antoine. Alors, ça c’est bien passé ?
    
    Soudain très gêné par cette rencontre impromptue, se sentant comme un enfant surpris la main dans le pot de confiture, Antoine tenta de chasser de son esprit l’image de cette formidable scène de baise qu’il venait de vivre avec la femme de son interlocuteur. Mais ce n’était pas facile et il avait très peur de se trahir.
    
    — Euh… Oui, monsieur N…
    — Jean-Paul, je vous ai dit !… Enfin bon, c’est fini. Ma femme devrait récupérer son permis la semaine prochaine et tout va donc rentrer dans l’ordre. La corvée est finie pour vous et vous allez pouvoir reprendre votre travail habituel.
    
    Comme l’attitude d’Antoine lui semblait étrange, il ajouta :
    
    — Ça va au moins, Antoine. Y a pas de problème ?
    — Non, non, Monsieur… euh, Jean-Paul, bredouilla-t-il en ...