Élodie, Coralie et leur maman (suite) (2)
Datte: 18/07/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... train de butiner, j’ai tout de suite compris que c’était la vendeuse. Sophie que j’avais sauvagement baisée dans la cabine d’essayage était là avant le déjeuner et j’étais en train de lui brouter sa minette. C’est une chose que je n’avais pas pu faire quand nous nous étions rencontrés dans le magasin, je n’avais eu droit que de la baiser et une fellation de sa part. Par contre, là, au niveau amour-propre, j’étais devant elle à genoux, totalement travesti, en train de lui faire du bien avec ma langue.
— Allez ma cochonne, l’autre fois, tu m’as pénétrée sauvagement dans la cabine d’essayage, maintenant c’est à toi de me donner du plaisir.
J’étais un peu stupéfait qu’elle me parle sur ce ton-là, je ne pensais pas qu’elle avait à ce point confiance en elle, d’autant que maintenant, elle joignait le geste à la parole, en appuyant sur ma tête pour que je lui fasse le plus de bien possible entre ses jambes.
— Tu vois que ma chérie est efficace, elle sait aussi s’occuper de l’abricot d’une femme, en plus de savoir les baisers.
Je reconnaissais sans problème la voix de ma chérie qui parlait de moi encore au féminin, là encore, ce n’était pas très flatteur pour moi aux yeux de notre invitée. Un moment, j’ai encore entendu des mouvements dans la chambre, mais j’ai surtout entendu des clics, il me semblait vraiment que l’on prenait des photos de moi. J’étais surtout en train de réaliser que Sophie devait avoir une vue sur moi bien dégradante. J’étais là, entre ses jambes, en ...
... train de lui faire du bien, encagoulé et accroché à ses cuisses pour garder l’équilibre, et surtout, habillé en femme avec l’arrière de ma robe soulevée et les sœurs qui étaient en train de jouer avec mon anneau rectal.
— Viens m’embrasser ma petite chienne.
Voilà comment me parlait désormais Sophie, quand elle me saisissait par la tête pour me relever et m’embrasser. Je pense que savoir qu’il y avait la cyprine de Nathalie et la sienne sur la cagoule devait avoir un côté très excitant pour elle, je ne vous raconte pas le côté olfactif pour moi... Maintenant que j’y pensais, j’étais en train de réaliser que j’avais quatre couches de cyprine sur moi, deux en dessous de la cagoule et deux au-dessus. À un moment, j’étais sur le point de lui demander de la pénétrer, car j’en avais gardé un très bon souvenir, mais elle ne m’a pas laissé commencer ma phrase et m’a renvoyé à la cave pour que je finisse par la faire jouir.
Finalement, à force d’insistance, elle a fini par prendre son pied sous l’effet de ma langue et par moments de mes doigts qui allaient se glisser dans son vagin. J’étais assez content de moi, excepté le fait que je n’avais pas fait jouir Nathalie ce matin. Je suis resté encore un long moment entre les jambes de Sophie pour essayer de récupérer le plus de nectar possible. Finalement à force de bander, mais surtout de contracter mon ventre en donnant des coups de reins, je commençais à avoir mal aux abdos. Par contre, je n’avais pas du tout mal à mon petit ...