1. Élodie, Coralie et leur maman (suite) (2)


    Datte: 18/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... rondelle, et à chaque fois que ma langue s’en approchait, je l’entendais se contracter de plaisir. L’odeur et le goût de son minou étaient bien plus forts, j’apprendrai qu’elle ne s’était pas nettoyé l’entrejambe depuis de jeudi, ce qui expliquait cette bonne odeur de marée.
    
    Moi aussi, de mes mains, j’écartais fortement les fesses de la benjamine, ces dernières étaient fermes, on sentait qu’elle était sportive. Après l’avoir fait basculer sur son lit, j’en arrivais même maintenant à rentrer ma langue dans sa rondelle, elle la contractait, je trouvais ça très amusant. En fait, je faisais subir ce que l’on me faisait en même temps. Finalement, Coralie était quand même en train de gémir sous l’effet de ma prestation. Quand je suis remonté pour lui manger son berlingot, elle a fini par prendre son pied. J’en étais à ma deuxième femme que je venais de faire jouir, mais aussi nettoyer en profondeur, je savais que maintenant, il allait falloir que je m’occupe de la maman. Vu que de son côté, Élodie était toujours en train de s’occuper de mon petit cul, je me suis permis de rester encore un peu à m’occuper de l’entrejambe de sa petite sœur.
    
    Ma chérie était tellement efficace que j’en arrivais à me demander si je n’allais pas jouir sous l’effet de ses coups de langue dans mon intimité. En fin de compte, je me suis redressé pour embrasser Coralie, et Élodie a fini par abandonner mon entrejambe si sensible.
    
    — Bon, mon chéri, tu sais ce qui t’attend maintenant. Ma mère ...
    ... t’attend avec impatience, il était convenu que tu t’occupes des filles en premier, maintenant que l’opération est terminée, il va falloir aller donner du plaisir à maman.
    
    Plus ma chérie était directive et autoritaire, plus j’aimais ça. Les trois filles que nous étions, par nos tenues, avions donc pris le chemin de la chambre de Nathalie. Contrairement à ses filles, la maman ne m’attendait pas en robe, mais juste en porte-jarretelles, bas, soutien-gorge et culotte fendue ; le tout étant assorti bien évidemment. Sa tenue était un véritable appel au viol compte tenu de sa plastique irréprochable, mais je savais que ce ne serait pas moi qui la violerais, mais plutôt le contraire. Par contre, Nathalie était assise sur le lit et elle attendait bien évidemment que je vienne me mettre à genoux devant elle, ses filles sont venues s’asseoir de chaque côté.
    
    — Viens me faire du bien ma chérie, je sais que tu as fait jouir mes deux filles, c’est maintenant mon tour.
    
    Bien évidemment, je me suis mis à la tâche, même si cette dernière était des plus plaisantes. Le parfum de la maman était toujours plus raffiné que celui de ses filles, c’était vraiment un plaisir que de plonger entre ses cuisses.
    
    À ma grande surprise, elle s’est mise à me donner de grandes claques magistrales sur les fesses, je ne vous raconte pas la douleur occasionnée.
    
    — Une soumise doit vraiment tout accepter, venant de sa maîtresse ou de ses maîtresses.
    
    J’avais la tête bloquée entre ses jambes, je n’entendais ...
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