1. Ma mère, ma petite soeur et moi (2)


    Datte: 18/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Paul50493, Source: Xstory

    ... dans la main, comme n’importe quel couple qui s’aime.
    
    Arrivés à la maison, je n’ai pas pu résister. Je me suis approché d’elle et l’ai embrassée, d’abord sur la joue, puis sur ses lèvres. Surprise, elle eut un mouvement de recul.
    
    — Paul, mon chéri, nous sommes à la maison maintenant... Le jeu est fini, ce n’est pas bien, je suis ta mère...
    
    Je ne comprenais plus rien ! Était-ce la même femme qui venait de me sucer au restau ? Celle qui me disait des mots d’amour avec un regard de braise ?
    
    J’ai regagné ma chambre complètement perdu. Mes neurones n’arrivaient plus à se connecter, plus rien ne faisait sens. Un sentiment étrange s’emparait de mon être, j’étais à la fois excité et terriblement frustré.
    
    Je m’apprêtais à me coucher lorsque j’entendis quelqu’un tousser. Je me suis retourné, c’était ma mère. Elle avait enlevé sa robe et portait de magnifiques dessous.
    
    — Tu croyais tout de même pas que j’allais te laisser dormir sur la béquille mon chéri ?
    
    Ma mère se tenait là, dans ma chambre, devant moi, avec pour simples effets un ensemble noir à dentelle qui lui allait parfaitement. Sa peau bronzée, ainsi que ses formes accortes, la rendaient très attirante. Souriant de me voir si pantois, elle a mis ses bras autour de mon cou et m’a embrassé comme jamais on ne m’avait embrassé. Nos bouches étaient faites l’une pour l’autre et nos langues se caressaient et tournoyaient dans un voluptueux ballet. Sa salive était si bonne... Notre baiser, de plus en plus ...
    ... fougueux, dura de longues et savoureuses minutes. C’était si bon de l’embrasser, de lui montrer mon amour et mon désir. J’en rêvais depuis tellement longtemps ! Ses mains parcouraient mon torse, mes bras, mon dos et mes fesses.
    
    — Maman tu es si belle...
    
    — Alors tu tiens de moi mon amour, parce que tu me rends folle...
    
    Elle m’attrapa encore la bouche pour mon plus grand plaisir. Sa langue, chaude et humide, était si délicieuse... J’ai dégrafé son joli soutien-gorge pour libérer ses seins qui furent pendant longtemps l’objet de mes fantasmes, la nuit, dans mon lit. Enfin j’allais pouvoir les voir, libres, nus, de près. Mieux, j’allais pouvoir les toucher, les caresser, les lécher... Ils étaient tout à moi...
    
    Elle, pendant ce temps, entreprit de m’enlever la chemise et passait sa main fébrile sur mes pectoraux. Je la voulais nue devant moi, à ma merci. Elle a tout enlevé et j’ai pu la contempler. Son corps était la perfection même, il me faisait bander comme un âne. Ses deux globes, lourds, ronds, doux, semblaient gorgés de lait. Ses tétons, épais, bandaient autant que moi. J’ai voulu les goûter.
    
    — Vas-y mon bébé, tête ta maman...
    
    Mmmm je les suçais avec avidité, comme si je me vengeais de toutes ces années de sevrage. Ils étaient longs, épais, durs et si bons... Ils m’avaient manqué...
    
    Elle avait sorti ma queue durcie et la branlait frénétiquement.
    
    — Oh mon bébé elle est si grosse, je mouille comme une petite pute...
    
    En effet, de la cyprine coulait le long de ...
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