1. Alain . . . (10)


    Datte: 18/07/2020, Catégories: Erotique, Auteur: dodomido, Source: Xstory

    ... main gauche se pose sur ma cuisse. Au lieu de le repousser, je le laisse faire pour avoir la paix, au lieu d’entrer dans un discours interminable pour rien.
    
    Ce coquin, voyant que je ne lui dis rien, dirige sa main entre mes cuisses. C’est à ce moment-là que je le repousse en prenant sa main, la pose sur sa jambe sans lui dire un mot.
    
    — Nathalie, tu me fais bander depuis le début de la soirée.
    
    — C’est bien, tu pourras te soulager plus tard.
    
    — Tu ne veux pas me soulager toi par hasard ?
    
    — Non, tu vas te débrouiller très bien.
    
    — Tu n’es pas cool, ou alors tu es une putain de fille sexy coincée.
    
    — Je sais. (Sans le savoir, il me vexe de dire que je suis une coincée. S’il savait !)
    
    Jean est très dragueur, charmant, j’ai une attirance pour les jeunes depuis pas mal de temps. Il a réussi à taper dans le mille en me disant que je suis une coincée !
    
    Je me gare le long du trottoir, coupe le moteur, éteins les phares de la voiture.
    
    — Tu es arrivé Jean. Je crois que tu as un peu trop bu et que tu vas aller te reposer.
    
    — Tu me fais bander et en plus tu es coincée. Ça craint !
    
    Il insiste à me dire ce genre de propos.
    
    — Je te fais bander ? (En posant ma main gauche entre ses jambes.)
    
    — Qu’est-ce que tu fais ?
    
    — La coincée regarde si elle te fait bander, mais je vois que c’est mou.
    
    — Laisse-moi un peu de temps ! Qu’est-ce que tu veux faire là ?
    
    — Tu as envie de me sauter ?
    
    — Heu... Tu m’as refusé toute la soirée, c’est bon j’ai ...
    ... compris.
    
    — Tu as compris quoi ?
    
    — Que c’est mort avec toi, que tu es mariée et coincée.
    
    J’ai eu envie de jouer avec lui.
    
    — Tu ne m’as pas dit tout à l’heure que je pouvais te soulager au lieu de le faire toi-même ?
    
    — Si, mais c’est bon. Arrête.
    
    — Sors là.
    
    — Hein ?
    
    — Sors là.
    
    — Je ne comprends pas trop ce que tu veux là.
    
    — Je te demande deux choses. La première est que ça reste strictement entre nous, pas un mot à personne, et la deuxième est de la sortir, et tu verras bien si la coincée ne va pas réussir à te soulager.
    
    — Tu veux vraiment que je le fasse ?
    
    — C’est toi qui te dégonfles ou quoi ?
    
    Avec des gestes imprécis, il déboucle son ceinturon, retire les boutons de sa braguette, baisse son boxer maladroitement, sort son sexe et le laisse pendre sans rien faire d’autre.
    
    Je le prends dans ma main gauche, le masturbe pour le faire durcir le regardant dans les yeux, malgré la pénombre. Il ne bouge pas, et même ayant un peu trop bu toute la nuit, surtout en boîte, je sens sa queue prendre du volume doucement dans ma main.
    
    — Alors ? Tu trouves toujours que je suis une coincée ?
    
    — Franchement tu m’étonnes. Tu vas continuer ici, dans ta voiture, devant chez moi ?
    
    — Tu as vu l’heure qu’il est ? Il fait nuit, tout le monde dort, et tu vis encore chez tes parents. Difficile de faire autrement. Non ?
    
    — Le truc est que je n’ai rien pour essuyer si tu vas jusqu’au bout.
    
    — Qui te dit qu’il faut un mouchoir pour essuyer ?
    
    — Ben, enfin, tu ...
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