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Nathalie Acte2
Datte: 17/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: levieuxdusud, Source: xHamster
... ma queue. Jean m’apporte une assiette et une coupe. Ça fait drôle de se retrouver la seule personne nue autour de la table…. Aline me dévore des yeux. Elle a l’air avide de moi et ça m’excite. Au bout de cinq minutes, elle se lève brusquement. Et d’un ton autoritaire : « Il est temps de passer aux choses sérieuses ! Je vais me préparer, je vous attends dans dix minutes. Occupe-toi d’elle…. Et de toi ! » La laisse passe dans la main de Jean. « Aline ? Tu nous attends où ? » Aline nous regarde. Elle nous toise de haut en bas. Elle hésite. « En bas ! » Elle disparait dans la pièce où elle était allée cherchez ma nouvelle queue. On sort dans la cour. Je le suis docilement jusqu’à mon petit studio. Il décroche ma laisse. « Attends-moi. » Quand il revient, il a une combinaison noire brillante qui lui couvre tout le corps jusqu’au raz du coup. Il me semble qu’il y a un triangle amovible au niveau de son sexe. Il me tend un vêtement. C’est aussi une combinaison noire en brillante. Il doit m’aider car je ne comprends pas trop comment elle est faite. Le bas est comme un collant porte jarretelles. Il est suivi d’un haut à manche longue fermé par un zip dans le dos. Deux trous laissent sortir mes seins qui pendouillent. Ils sont un peu serrés à la base et c’est excitant… Il enlève mon collier et me passe une cagoule qui se ferme aussi avez un zip derrière. Elle a deux trous pour les yeux et un pour la bouche. Il remet mon collier, la laisse. Il ouvre ...
... l’armoire. Il y une grande glace au dos de la porte. « Regarde-toi ! » Je regarde. La cagoule est blanche avec les trous cerclés de rouge. Mes seins roses pendent de manière obscène sur mon corps noir. Dessous, mon sexe est bien dégagé, comme mon cul d’ailleurs. Je ne suis plus Nathalie, je suis une bouche, une chatte et un cul. Je suis un objet à trois trous. Bizarrement, cette pensée me fait mouiller. Jean me tire par la laisse et nous rentrons dans la maison en passant par la cour. Jean pousse une porte. On se retrouve dans une grande pièce ronde, ce doit- être la tour. Contre le mur en face nous, un escalier en colimaçon qui monte ou descend. Je suppose qu’Aline doit nous attendre en bas. Jean avance, je ne peux que le suivre. Nous descendons prudemment l’escalier. Je me retrouve alors dans un couloir. Jean passe derrière moi et me pousse. Le couloir est court et sombre. Il s’illumine soudain. Aline est en face de moi devant une porte. Elle est magnifiquement impressionnante. Franchement, j’ai peur et me demande ce que je fais là, mais cette peur me fait un effet bizarre, comme si mes entrailles se tortillaient dans mon ventre. Elle est tout de noir vêtue. Des cuissardes avec talon aiguille et semelle à plateau la grandissent d’au moins 20 centimètre. Elles montent jusqu’à son entrejambe nue. Le haut est un débardeur noir brillant comme ma combinaison. Elle a des gants qui montent presque jusqu’à l’épaule. Le haut de son visage est caché par un masque, un loup noir surmonté ...