1. Une soirée foot chez moi, vive l'Euro !


    Datte: 12/04/2018, Catégories: fh, ff, fête, noculotte, Oral occasion, fbi, Auteur: Tortue675, Source: Revebebe

    ... Ce n’est pas encore la catastrophe, mais match nul. Je sors quelques shots pour donner un petit remontant, tenter de garder un peu d’espoir. Tout le monde joue le jeu et les discussions reprennent.
    
    Début de deuxième période, je m’éclipse dans la cuisine pour allumer le four. J’entends du bruit derrière moi en fermant la porte du four, je me retourne, mais suis surprise par Stan qui vient de poser des plats sur l’évier. Je tombe gauchement à même le sol. Dans un réflexe, Stan qui est juste à côté de moi essaye de me tenir pour amortir ma chute mais n’y arrive pas. Je tombe lourdement sur mes genoux et Stan est penché sur moi la main en bas de mon dos. Je me sens conne. En plus ma jupe est remontée sur mes fesses.
    
    — Caro, ça va ?
    — Oui, mais j’ai un peu mal.
    — Merde. Ah mais…
    
    Je comprends, par la phrase inachevée, qu’il a une vue sur mes fesses. Je ne bouge pas. Je ne peux pas pour l’instant.
    
    — Je peux me permettre quelque chose ?
    
    Je ne peux pas bouger et pas l’envie de crier.
    
    — Quoi ?
    
    Je le sens venir déposer un baiser sur ma fesse gauche. C’est doux, agréable et osé. Il a remonté un peu plus ma jupe pour le faire.
    
    — Je… tu… n’as pas de culotte ?
    — Relève-moi et je t’explique.
    
    Il se relève, me prend un bras, je ne sais où prendre appui avec la seconde main je m’agrippe sur lui mais je vise inconsciemment son entrejambe. Je sens sa verge toute dure au moment où il m’attrape le second bras. Je reste à ce niveau-là pour jauger la taille.
    
    — ...
    ... Désolée, dis-je avec un sourire en coin et en le regardant dans les yeux.
    — Tu ne m’as pas fait de mal. Je dirais plutôt l’inverse.
    — C’est tentant.
    
    Je suis debout, face à lui. Les larmes coulent et je pense mettre ma tête sur son épaule pour prendre un peu de répit face à la douleur, mais lorsque je m’approche, il vient déposer ses lèvres sur les miennes et on s’embrasse ainsi. Et je lui chuchote :
    
    — Concernant ma culotte, non, je n’en porte pas quand je suis chez moi. Jamais.
    — C’est dingue. On se demandait avec les mecs si tu avais un soutien-gorge, et on a eu une vue plongeante au moment où tu nous as servis, on n’a plus eu de doutes. Mais on n’avait pas pensé à ça.
    — Vous discutez souvent des filles présentes ?
    — Quand on va fumer, quasiment toujours. Et tu es souvent dans les discussions. Les gens t’apprécient et tu es jolie.
    — J’en suis ravie.
    
    Je sais que beaucoup m’apprécient, que certains ont essayé d’avoir mes faveurs. Je suis une femme indépendante, pas prête à se mettre en couple définitivement, mais je crois en l’amour, la tendresse et les relations.
    
    — Tu ne portes jamais de culotte chez toi ?
    — Non, en fait je suis très sensible de ce côté-là, parfois ça m’irrite, alors quand je peux, je porte une jupe et l’air libre est le meilleur ami de ma partie la plus intime.
    — Tu n’as pas peur que quelqu’un le remarque ?
    — Si. Les filles. Pour les mecs, ils s’en régaleraient, en profiteraient, mais ne diraient rien.
    — C’est vrai que…
    
    À ce moment-là, JP ...
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