L'orage
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... se mêlent peu à peu les halètements de plaisir et les cris rauques que délivre la bouche de maman. Ses cris m'excitent et font presser mes vas et viens, j'accélère mes coups de queue et je sens que ma mère suit le rythme, son souffle est plus saccadé et ses cris de plus en plus rauques au fur et à mesure que mon sexe pistonne son vagin.
Le rythme monte encore, mes reins se mettent à battre une sarabande de plus en plus folle, le cri venant de sa gorge devient une plainte continue et modulée pendant que ma queue et sa fente produisent un bruit de baratte de plus en plus obscène. Je plonge en elle à chaque coup de reins de plus en plus profondément, mon gland vient effleurer son utérus lui tirant son cri de gorge continu et si sensuel.
J'ai passé mes bras sous ses aisselles, mes mains sur ses épaules tiennent fermement son corps tout en retenant le miens. Mes bras sont mon appui pour que chaque coup porté par mes reins soit un coup qui la pénètre profondément, pendant que mes reins se contractent, mes bras tirent tout mon corps vers le haut et ma bite fouille le fente aux lèvres ouvertes. Je sens alors nos pubis se toucher, parfois les os s'entrechoquent tant mon envie de pénétration est grand.
La machine semble s'emballer et j'imagine que je ne pourrai pas la retenir, j'ai les coups de reins violents et rapides pendant que la sève me monte le long de la verge. J'ai enfouis ma tête au creux de son épaule que je mords à lui faire mal, sa tête est rejetée en arrière et ...
... un long cri primal exhale de sa bouche sans discontinuer. Ses reins sont secoués de secousses frénétiques qui viennent amplifier mes furieux asseaux, j'ai senti à plusieurs reprises que je touchais le fond du vagin, je perçois ses contractions de douleur.
Soudain un cri puissant me vient, sans que je n'ai pu le retenir. Du fond de ma gorge il monte comme un cri de douleur. Mon corps se contracte dans la même seconde et ma bite se fiche au creux de ma mère, je me soude à elle et, hébété, je laisse s'échapper un jet brûlant de sperme en spasmes continus et frénétiques. Il me semble que je me vide de ma substance tant est réelle cette impression de me répandre tout entier. Mon sexe pulse à n'en plus finir le liquide blanchâtre qui coule et coule encore, qui s'introduit dans les recoins de sa chair qu'il n'en finit plus de l'envahir.
Dans la même seconde que ma semence l'envahissait, le cri de maman est devenu une longue plainte rauque avec de curieux accents dans les aigus avant de finir en plainte de bête blessée, presque un sanglot.
Nous reprenions nos souffles dans une ivresse bien réelle qui nous faisait douter de l'intensité du moment que nous venions de vivre. Je m'étais échoué sur elle, anéanti par la violence de cette éjaculation si irrépressible, la bite encore plantée en son sexe. Elle geignait, tardant à reprendre ses esprits, le souffle court, épuisée et noyée de sperme et de sueur. Sa chemise de nuit était enchifonnée autour de sa taille car nous n'avions ...