1. L'orage


    Datte: 15/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... plus sensibles et elle répond à mes caresses ; Sa main se perd du coté de ma braguette et mon sexe apparaît à la lumière de la lampe de chevet. Maman me branle doucement, comme pour me consoler d'un grand chagrin. Je plonge ma main à mon tour entre ses cuisses et caresse sa culotte de satin couleur chair, après quelques instants, je vois bien que le tissu se mouille sous mes doigts. Je l'embrasse à pleine bouche comme jamais je ne l'ai fait, nos langues se mêlent pour un baiser d'amour comme on en vit peu. Je la bascule sur le lit et me met à la caresser de haut en bas. J'écarte un bonnet du soutien gorge et l'aréole brune m'apparaît, elle est presque noir maintenant et plus large. Je suce le sein maternel, provocant soupirs et geignements, en même temps je repense à madame lefait qui au dessus de nos têtes s'apprête à se coucher auprès de son époux. Ma bite est encore toute rouge d'avoir ramoné le cul et la chatte de la voisine et c'est maman qui va s'en régaler ce soir. Je retrouve mon insouciance pour bien baiser maman, oubliée les règles qui ne viennent pas, l'angoisse d'une probable grossesse, ce soir je veux baiser, planter ma bite bien au fond de sa chatte et bourrer son vagin de mon sperme.
    
    C'est à ça que je pense en montant sur son ventre et en fourrant ma queue au plus profond de sa fente. Elle a poussé un « Ah ! » de surprise quand ma tige raide a forcé le passage des grandes lèvres et s'est planté dans son réceptacle. Sans attendre je me suis mis à besogner ...
    ... de la bite dans sa chatte. Petit à petit j'ai senti son trou se lubrifier et ma queue aller facilement en son fourreau. Ses seins durs et gonflés agacent ma poitrine, les tétons sont érigés, je les sens durs contre ma peau. Je baise comme un fou, de plus en plus vite mes coups de reins ébranlent le corps de maman, je la secoue de la tête aux pieds dans une rage de cul que je n'ai jamais ressenti. Le sperme me monte de mes couilles qui me font mal, je ne les ai guère ménagé aujourd'hui. Je sens aussi maman qui monte vers le plaisir, nous allons jouir ensemble, je le veux, nous sommes dans la même galère et nous devons être solidaires. Nous jouirons ensemble et nous serons ensemble dans l'épreuve, « Tu veux maintenant ? ». Je lui ai glissé cela à l'oreille, « Oui, maintenant ! » souffle-t-elle à son tour. « Tu veux du sperme ? » la question m'est venue comme avec madame Lefait juste au dessus de nous et qui cherche le sommeil auprès d'un époux qui ronfle. « Oui, donne moi ! », maman me le glisse au creux de l'oreille au plus fort de mes coups de reins. « Je vais te remplir de mon sperme, tu vas tout prendre et tout garder ! » , « Oh ! mon fils oui, donne moi ton sperme donne le moi ! ». Maman a écarté ses cuisses en grand, je les prend sur mes épaule et m'enfonce au plus loin dans son vagin pour délivrer une charge de foutre qui gicle au fond d'elle en me martyrisant les couilles. Cette fois j'ai vraiment mal d'avoir tant baisé, je grimace de jouissance autant que de douleur et ...
«12...121122123...146»